Je me demande si ce stress n'est pas lié à une trop grande crainte de perdre.
Le plus on pratique ASL, le moins on a d'états d'âme sur le résultat d'un scénario.
Je pense qu'il y a une volonté chez certains joueurs de "vouloir trouver la solution idéale", avec des motivations multiples : besoin de rationaliser pour se rassurer, trouver la solution optimale au problème "mathématique" posé par défi intellectuel, ne pas frustrer un adversaire plus fort, etc.
Au final, il s'agit plus la peur de "mal faire" que de perdre en soit (les mauvais perdants ne font généralement pas long feu à ASL, apprendre à perdre a été ma première grande leçon de débutant)
Tout le monde n'est pas sensible à ça. Mais moi qui suis assez analytique, je suis concerné. Mes 2 parades sont :
- la pratique : comme dit Robin, plus on joue, plus on relativise (et plus on s'améliore !). En ce moment, je ne pratique pas - vive les gosses ! d'où le 2e point :
- le Ftf : ASL est une expérience aussi bien intellectuelle que sociale. La dimension sociale est au moins aussi importante que la partie elle-même. Gagner, perdre, ne pas finir, tant que le partenaire sympathique et fair play, je m'y retrouve. Comme pour l'ensemble des témoignages partagés sur ce fil. Via VASL, le jeu est plus découpé et les créneaux de jeu souvent moins confortables, c'est moins simple