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Königsberg - la revanche de l'ours

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Hill621:
Tour 3 russe

Pour la 3ème fois consécutive, le barrage roulant tombe avec précision (accurate) et sème la panique parmi un groupe de défenseurs de la Waffen SS ! Un trou apparait dans la défense allemande mais situé de l'autre côté du boulevard Oberhaberberg, il ne pourra vraisemblablement pas être exploité. Poisse.
L'observateur de 122mm tente de décaler le tir de la batterie sur la gare de fret où se retranchent des Jeunesses hitlériennes mais la manoeuvre échoue et le tir est annulé (red chit).

Après quelques tirs de préparation et placement de fumigènes, l'assaut se poursuit sur toute la longueur du front.

Au Sud, il faut profiter du tir de barrage et saisir l'occasion malgré les risques (rapide calcul de la fameuse balance bénéfiques/risques) ! Un groupe se précipite sur la Horst Wessel Straße et parvient essoufflé dans les ruines PP67.
Un peu plus haut, c'est un 458 qui tente un mouvement audacieux mais est cueilli par les tirs d'un squad de SS cloué au sol : la moitié des hommes est fauchée par les balles et les autres se jettent à terre ! Plusieurs chars arrivent enfin en soutien sans être inquiétés par l'infanterie ennemie trop occupée à sauver sa peau.
Les sapeurs montent rapidement une double attaque sur les arrières de la caserne des officiers : un HS échoue à placer sa DC, un 628 est cloué au sol ! Deux T34-85 se précipitent pour appuyer l'assaut : l'un d'eux est pris pour cible par un PaK43 placé dans l'alignement de la rue et qui multiplie les tirs (rof 2) : le second obus perce le blindage du char !
La caserne en elle-même continue d'être investie par nos soldats qui se rapprochent près du mess des officiers.

La moitié sud de la Südlicher Güterbahnhof est entre nos mains ! Nos troupes poussent prudemment vers l'Est sans rencontrer de résistance.

Emboitant le pas d'un HS en furie, plusieurs chars, dont un lance-flammes, esquissent un mouvement de contournement par l'Ouest : le char de tête est pris à partie par un Pak40 qui malgré la précision de ses tirs ne parvient pas à le détruire (2 rof, un dud sur le second tir ; en retour, le T34 décrochera un improbable hit sans suite).
Le reste de l'infanterie rampe sur les talons des berserkers. Un échange de tirs avec les défenseurs ne donne rien des deux côtés.
Le char FT a l'audace de vouloir griller les soldats amis et ennemis en passe de s'écharper en corps-à-corps (le fameux HS berserk et un squad de HJ) mais malgré un superbe tir, tous les hommes tiennent au moral !

Signe de l'âpreté des combats, plusieurs CC se développent le long du front.
Près du mess des officiers, un 447 cx parvient à prendre en embuscade un HS de la Waffen SS et neutralise les fascistes à coup de grenades.
A l'Est de la gare Sud, un 447 rampe vers une position ennemie proche (MMG) sous couvert de son camouflage, parvient à les prendre en embuscade mais échoue à conclure son attaque ! La riposte est foudroyante et nos soldats sont annihilés malgré leur acte héroïque dont profite cependant un HS porteur de lance-flammes pour s'approcher de la position de défense.
Dans la gare de fret, nos soldats devenus enragés s'attaquent à un groupe de gamins des Jeunesses hitlériennes qui offrent une résistance acharnée et éliminent nos hommes.

Situation à la fin du tour russe

Hardrada:

--- Citation de: Hill621 le 10 Septembre 2021, 19:11 ---Tour 3 russe

Près du mess des officiers, un 447 cx parvient à prendre en embuscade un HS de la Waffen SS et neutralise les fascistes à coup de grenades.


--- Fin de citation ---

Extrait des archives du Smersh :

"Excellent commentaire impartial et en conformité avec la doctrine léniniste - ne pas oublier cependant de continuer à surveiller les écrits de l'auteur dont l'oncle avait acheté des pommes de terres à un koulak en 1927 et dont une demi-soeur a épousé un ukrainien en 1932."

barns:
 :-D :-D :-D

Hill621:
Tour 4 allemand

Verdammt !
La situation est très tendue sur la quasi totalité du front.
Aussi, c'est un feu d'enfer qui se déclenche de l'Oberhaberberg jusqu'à la gare de fret.
Les tirs précis de nos hommes prélèvent leur tribut parmi les bolcheviks et mettent en déroute une autre partie d'entre eux.
Le repli de la caserne des officiers est couvert avec quelques succès mais l'extraction s'annonce compliquée pour des Volkssturm et un sous-officier SS : l'opération se soldera malgré tout par un succès tant les tirs des moujiks seront inoffensifs.

Les solides murs de la gare Sud bénéficient désormais aux assaillants. Nos tirs ricochent sur la pierre sans inquiéter les soldats rouges qui tirent maladroitement vers nos lignes. Nous nous regroupons dans le bâtiment Nord pour les accueillir comme il se doit. En même temps, un groupe se faufile jusqu'au mur Ouest pour prendre à partie un ISU152 en CC tandis que des renforts descendent furtivement de la gare de fret pour aider à neutraliser l'imprudent.

Le combat s'intensifie également dans la gare de fret : un groupe de jeunes patriotes de la HitlerJugend réalise l'exploit de faire sauter au Panzerfaust un T34 arrêté sous leur nez. Le retour de flammes emporte cependant une partie de ces fougueux soldats et brise le moral des autres. Notre Pak40 détruit également un char communiste dans un duel acharné où le sang froid et l'expérience de nos soldats l'emportent sur la couardise des sous-hommes sibériens (et grâce à un TK3 tout de même) ! L'attaque russe se brise les dents sur notre héroïque défense !

L'artillerie devrait prochainement joindre sa puissance de feu à celle de nos valeureux soldats. Les obus de 150mm sont appelés à stopper l'avance des russes dans la caserne des officiers et à couvrir le redéploiement de notre défense en arrière.

Les russes poursuivent leur pression. Les tirs très nourris mettent à mal notre défense, particulièrement dans le sillon de leur tir de barrage le long de l'Oberhaberberg qui fort heureusement est levé. Il semble évident que l'ennemi cherche à profiter de la confusion et des pertes occasionnées par ce feu roulant. Waffen SS et Grenadieren tentent d'endiguer la marée rouge mais subissent plusieurs revers. Ainsi, notre ligne de front au croisement de l'Artillerie Straße et de l'Oberhaberberg est au bord de la rupture. Heureusement, nos chars approchent du Höhe Brücke.

Werner Schönwald, correspondant pour "Signal"

Situation à la fin du tour allemand

Hill621:
Nous sommes à deux doigts d'enfoncer le front des fascistes ! Encore un effort !
за родину !

Le barrage d'artillerie est levé mais a parfaitement accompli sa tâche : c'est dans sa course finale qu'il a permis d'ébranler la défense des allemands et c'est ici que nous allons pouvoir percer leur front !
A l'opposé, notre observateur de 122mm perd à nouveau le contact (DR11...). Mais les obus de repérage tombent à proximité de la gare de fret. Gageons que nous puissions rétablir la liaison rapidement pour corriger le tir.

Nombreux échanges de tirs dans et autour de la gare de fret. Nos fusiliers font face à des nazis fanatiques. Des renforts d'infanterie sont acheminés en hâte, et les derniers chars présents dans le secteur se joignent au combat à bout portant malgré les risques dus aux Panzerfausts et à la présence d'un PaK, ce dernier tournant maintenant son attention vers notre dernier ISU152.
Des CC enragés s'engagent dans les ruines, mais nos soldats sont soit pris en embuscade par ces gamins fanatisés, soit bloqués dans un combat meurtrier.
 
Même chose autour du second bâtiment de la gare Sud : un de nos ISU est détruit par une roquette de Panzerschrek alors que nos tirs avaient mis en déroute un groupe d'allemands venus en corps-à-corps. L'équipage évacue mais est pris à partie aussitôt à l'extérieur !
Le feu qui ronge inexorablement les ruines de la gare Sud gêne notre progression. Un assaut est cependant mené par l'Est en profitant des ruines et en progressant par bonds. Un char lance-flammes échappe à la vigilance des porteurs de Panzerfaust et parvient à éliminer un squad allemand avec son liquide enflammé ! Nos fantassins sont quant à eux séchés net par les défenseurs qui sont parvenus à se regrouper et à nous opposer une incroyable puissance de feu.
Un groupe de sapeurs verrouille un nid de MG en corps-à-corps pour aveugler la défense et permettre à d'autres groupes de progresser sous couvert du char lance-flammes.

A l'Est, dans l'axe de l'Oberhaberberg, nous troupes continuent d'investir la caserne des officiers désormais abandonnée par les allemands en pleine déroute. Des obus de repérage tombent cependant à proximité, laissant craindre plus, ce qui poussent nos soldats à chercher un abri plus au Sud dans le quartier. Satanée artillerie... La menace se transforme en un déluge de feu au-dessus du mess des officiers. Quelques sapeurs en font les frais. Nos soldats ne résistent pas à un tel enfer. Mais le gros de nos troupes a cependant échappé aux obus, en particulier nos armes lourdes qui suivent péniblement le rythme effrené des fusiliers.
Nous parvenons cependant à repousser encore plus loin les allemands, grâce en particulier à l'engagement intense des sapeurs et l'utilisation d'un lance-flammes. Nos fusiliers n'hésitent pas à se lancer en corps-à-corps lorsque le rapport de forces le permet, en particulier contre les vieillards du Volkssturm.

Profitant de la confusion, nos soldats s'élancent vers le bâtiment OO62. Un T34-85 couvre l'assaut de façon magistral : il s'élance sur le boulevard, ouvre sa tourelle, et vomit de la fumée de son Sd (DR5 ! Hurré !). En face, les allemands médusés par l'audace de ce mouvement baissent la tête (dr6 sur un pf dr....). Deux groupes de fusiliers s'engagent à la suite du char et courent littéralement jusqu'à proximité des SS démoralisés qui tentaient de se rallier à l'arrière de l'immeuble (et bim ! DM !). Ils sont cependant stoppé dans leur élan par les Grenadieren de l'immeuble QQ64 (2MC bon sang !). Le second groupe vient malgré investir le rez-de-chaussée fortifié derrière nos valeureux soldats !
En même temps, un mouvement de contournement par le Sud du boulevard échoue, même si plusieurs T34-85 débouchent à cet endroit.

Situation à la fin du tour russe

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