Discussions et questions-réponses concernant ASL > AAR - Parties d'ASL commentées
[ASL SK] Premier contact à Vierville
Lorenzo:
Un autre gros point négatif du No Quarter est que le Mopping UP n'est plus permis. Cela peut avoir son importance sur un scénario urbain avec des VC de contrôle des bâtiments...
Uphir:
En quelques minutes, la situation s’était inversée ; malgré un indéniable courage, les Screaming Eagles, qui tenaient jusque-là solidement le centre du village, commençaient à céder sous le feu nourri des soldats allemands, renforcés par ces diables de Fallschirmjägers. Le momentum avait changé de camp, O’Brien le sentait, et probablement que ses supérieurs aussi ! Le 506th P.I.R jetait toutes ses forces dans la bataille...
Tour 3, américain : Phase de Ralliement (Rally Phase, ou RPh)
Les américains reçoivent leurs derniers renforts ; et quels renforts ! Deux groupes de combat au complet, deux demi-groupes, et un excellent leader (9-2). Le souci est qu’ils arrivent une fois de plus par le nord et qu’il leur faudra au moins une phase de mouvement complète avant d’être en position de combat ; et le temps presse ! Qui plus est, le retrait du squad à l’ouest de Vierville permet désormais aux allemands de couvrir la route nord-ouest, empêchant d’y débouler à grandes enjambées comme les paras l’ont fait jusqu’ici.
Cet important groupe va donc progresser par les vergers et les bâtiments environnants le village pour éviter de s’exposer inutilement, et tant pis si cela ralentit leur progression. Mieux vaut arriver en état de se battre !
En ce qui concerne les ralliements, les américains ne peuvent tenter de "self-rally" qu’un unique squad sur les deux "brisés", et ce sont les hommes au sud-est qui vont tenter le jet (ce sont eux qui disposent des meilleures chances d'y parvenir grâce à l'abri du bâtiment, même si le "desperation morale" est très handicapant) ; malheureusement, ils échouent !
Côté allemand, à l’ouest, le squad "brisé" en situation de "DM" dispose d’un leader pour essayer de se rallier, et même si il ne lui confère aucun bonus pour ce faire, il lui permet au moins de tenter. C’est également un échec !
A l’est, l’Oberleutnant Freitag et son équipe tentent également de se rallier avec l’aide de l’autre leader présent dans l’hexagone (-1) ; ils seraient inspirés d’y parvenir car nul doute que ce joli "stack" va finir par attirer l’attention des américains ! Cela passe pour Freitag qui retrouve des couleurs malgré sa blessure. En revanche, son groupe de combat reste "brisé".
Tour 3, américain : Phase de Feu Préparatoire (Prep Fire Phase, ou PFPh)
Les tirs d’appui (terme sans doute plus approprié que "tir préparatoire" comme me l'a fait remarquer Barns) américains risquent d’être d’une importance capitale à l’heure où la poussée allemande bouscule fortement leurs positions.
On commence par un squad de parachutistes (FP 7) qui ouvre le feu sur les éléments du 919ème Grenadier-Regiment qui occupent l’objectif en M4. Il y a malheureusement un verger sur la ligne de tir (+1 de "gêne") et la probabilité d’obtenir un résultat est mince, surtout avec la protection du bâtiment (+3). Cela ne passe pas loin (à "1" près), mais le tir est sans effet, ce qui oblige...
... les parachutistes en M6 à ouvrir le feu sur la même unité ; l’idée étant tout à la fois de couvrir l’approche des renforts et la retraite des copains "breakés". Avec un FP de 10 et un excellent 3 aux dés (pour un résultat de 5 après modifications), les allemands sont contraints à un jet de moral avec un malus de +2 ; c’est un échec, sans toutefois perdre en qualité (mais de peu !).
L’objectif principal est atteint même si il aura fallu pour cela "sacrifier" deux attaques.
Reste O’Brien et les deux groupes de combat sous ses ordres qui ne vont pas se priver d’allumer la jolie pile en face d’eux (la cible est bien trop "tentante" pour exécuter un mouvement de retrait puis d’avance comme je l’ai fait précédemment ; encore une fois, le "stacking" est tout à la fois une force -concentration de "puissance de feu"- et une faiblesse -un tir affecte toute la pile- à ASL). Ce groupe de tir a un FP de 14, avec un modificateur de +2 grâce au bonus de leadership d’O’Brien qui compense en partie le TEM. Les dés donnent un 4, pour un résultat final de 6 : c’est un 2MC pour toutes les unités allemandes !
Le meilleur leader allemand (9-1) teste en premier pour savoir s’il pourra appliquer son bonus de leadership à ses petits camarades (en sachant qu’il ne peut l’appliquer à lui-même) ; il réussit ! Freitag, lui, échoue malgré la présence de son collègue et est à nouveau "brisé".
Le squad de Fallschirmjägers échoue à son tour à son test, mais le squad de 1ère ligne tient le choc. Le demi-squad déjà "brisé" échoue quant à lui et subi donc une "Casualty Reduction" ; étant déjà en demi-groupe, il est tout simplement éliminé ! C’est la première perte "sèche" de la partie.
Enfin, à noter que la nouvelle défection de Freitag face au feu ennemi n’entraîne pas d’autres effets négatifs, les unités en bon ordre empilées avec lui ayant un moral égal ou supérieur (seules les unités ayant un moral inférieur à "leur" leader doivent se tester quand ce dernier défaille ou est éliminé). L’Oberleutnant ferait bien de prendre exemple sur ses hommes !
Tour 3, américain : Phase de Mouvement (Movement Phase, ou MPh)
L’appui feu a plutôt bien fonctionné et les parachutistes américains se ruent à l’assaut pour tenter de reprendre les bâtiments perdus. Cependant, la rue principale de Vierville qu'il faut traverser pour atteindre les objectifs reste un no man’s land dangereux, car encore couvert par le feu allemand.
Un groupe de combat mené par son leader s’approche de la dite rue, masqué par les maisons du centre-ville, et tente de placer un fumigène pour leurs camarades. Un tel process coûte 2 MF pour un hexagone adjacent (1 MF si placé dans le même hexagone) et requiert un jet (1d6) sous l’exposant accolé à la FP du squad (3 pour les paras U.S) ; c’est un 6 qui, non seulement ne déploie pas le fumigène espéré mais met fin également au mouvement de l’unité (bon, elle n’avait plus rien à faire, ça va !).
Cet échec ajourne l’assaut ; hors de question pour le moment de risquer des hommes à découvert. Les américains tenteront de faire reculer les allemands par le feu. Le squad initialement dédié à l’attaque sur l’objectif rejoint sagement les copains dans le verger qu’ils occupent.
Les renforts (le "stack" mené par le 9-2 sur la droite de l’illustration) se rapprochent des combats en évitant les lignes de vue allemandes, même si les potentiels tireurs sont assez éloignés.
Tour 3, américain : Phase de Feu Défensif (Defensive Fire Phase, ou DFPh)
Les mouvements de troupes U.S n’ont pas offert d’opportunité de tir aux allemands, mais il est temps de remédier à cela.
On commence à l’est où le leader arrivé avec les Fallschirmjägers tente de coordonner un tir du squad de 1ère ligne encore en état de se battre sur les positions américaines ; sans effet !
En revanche, les deux groupes de Fallschirmjägers, assistés d’un squad du 1058ème Grenadier-Regiment, prennent pour cible les parachutistes déjà "breakés" face à eux ; les "aigles" encaissent des pertes (suite à un 2MC raté, le squad est réduit en "Half-squad") ! Qui plus est, ils repassent en "Desperation Morale".
Des soldats allemands de 2ème ligne tentent également un tir sur cette unité dans l’espoir de l’éliminer définitivement, mais cette tentative échoue.
Combien de temps cette poignée d’hommes tiendra-t’elle encore ?
Tour 3, américain : Phase de Feu Avancé (Advancing Fire Phase, ou AFPh)
Côté américain, les paras qui devaient monter à l’assaut de l’objectif en M4 se "contentent" d’ouvrir le feu sur les allemands déjà éprouvés dans le bâtiment. Malgré leur capacité de "tir d’assaut", le tir ne produit qu’un "Pin Task Check" ; sans effet sur une unité déjà "brisée" !
Tour 3, américain : Phase de Déroute (Rout Phase, ou RtPh)
A ce stade de la partie, la Phase de Déroute commence à être mémorisée et sa logique fait vraiment sens... une fois passé l'inutile complexité de son écriture (je pense vraiment que c'est le chapitre d'ASL SK qui est le plus "pénible" à lire alors qu'il pourrait être simple à synthétiser).
Nous commençons donc par vérifier les unités "menacées" et susceptibles de passer sous "DM" ; il s’agit des unités "brisées" qui sont soit adjacentes (ou dans l’hexagone) à une unité ennemie en bon ordre, soit à découvert, à portée normale, et en LoS d’une unité ennemie pouvant lui interdire l’hexagone où elles se trouvent.
Ce deuxième cas s’applique aux américains "brisés" au milieu de la rue principale de Vierville qui se trouvent dans un "Open Ground", en vue et à portée d’un squad allemand de 1ère ligne. Les paras U.S reçoivent donc un marqueur "DM" et doivent dérouter ! Le bâtiment le plus proche (N5) est ignoré (car cela les rapprocherait de l’unité qui les menace), et ils profitent de l’abri des maisons pour se reculer dans le village sans subir d’interdiction.
Le désormais demi-squad de la 101st sévèrement ébranlé pourrait dérouter (il est en situation de "Desperation Morale") mais sortir du bâtiment les exposeraient inévitablement à un feu nourri des allemands. Il n’y a pas d’échappatoire et malheureusement, cette bande de braves, sauf miracle, semble condamnée !
Bien qu’il ne soit pas contraint de le faire, le squad allemand sur l’objectif en M4 retraite dans le bâtiment à côté, s’éloignant ainsi de la menace ennemie. Certes, cela libère un hexagone d’objectif mais les allemands n’en ont besoin que d’un seul pour contester le village et il est inutile de sacrifier ces hommes pour le moment.
Tour 3, américain : Phase d’Avance (Advance Phase, ou APh)
Les renforts pénètrent dans Vierville par le nord et le leader (8-0) se décale d’un hexagone pour tenter, lors de la prochaine Phase de Ralliement, de remotiver le groupe de paras qui a reculé.
Tour 3, américain : Phase de Close Combat (Close Combat Phase, ou CCPh)
Non, toujours pas ! Mais cela c’est joué à un fumigène près !
PanzerGG:
Salut Uphir,
le squad US DM en N4 doit rester DM à l'issue de la phase de Rally car il est adjacent à une unité ennemie....en fin dans le grosse RB :-$
Uphir:
Oui, tu as raison PanzerGG.
Bizarrement, je ne sais pas pourquoi je lui ai ôté car je connais la règle (elle fait partie de celles que j'ai bien retenu). Je pense que j'ai dû, comme à chaque fin de phase, cliquer sur le bouton qui permet d'effacer tous les marqueurs d'un certain type (DM, Prep Fire, Defensive Fire, etc.). Je plaide l'erreur d'interface et non l'erreur de règles ! ;-)
Mais comme quoi, des fois, en voulant gagner du temps en automatisant certaines tâches, on fait ce genre de boulette. Je le note dans mon doc pour corriger néanmoins ce passage (et refaire les captures).
Merci de ta vigilance.
Uphir:
Bien que les parachutistes américains arrivaient toujours plus nombreux des champs environnants, la manoeuvre allemande avait parfaitement fonctionné, repoussant l’ennemi dans la partie nord du village. En accentuant encore la pression, il était peut-être même possible de le chasser hors de Vierville, maintenant ainsi la route ouverte pour les troupes se dirigeant vers les plages pour repousser le débarquement allié. Les minutes à venir allaient être décisives !
Tour 4, allemand : Phase de Ralliement (Rally Phase, ou RPh)
Les deux camps ont envoyé tout ce qu’ils avaient pour prendre et tenir le village. Il n’y aura plus de renfort et les hommes déjà déployés ne pourront compter que sur eux-mêmes.
Les allemands, attaquants sur cette séquence, peuvent tenter un "self-rally" sur le squad "DM" qui s’est retiré de la première ligne (en L3) ; il échoue de peu ! Le deuxième groupe "brisé" n’est quant à lui plus en situation de "DM" et peut essayer de se remobiliser grâce à la présence d’un leader (7-0) ; il y parvient !
A l’est, l’Oberleutnant Freitag serre à nouveau les dents et tente de reprendre ses esprits (toujours avec l’aide du leader en bon ordre pour s’éviter le malus de "self-rally") ; il échoue de 1 ! Sa blessure est décidément bien handicapante ! Le groupe de Fallschirmjägers ne parvient pas non plus à se rallier.
Ces unités perdent leur marqueur "DM" car elles se trouvent dans un bâtiment, et j’avoue que cela n’arrange pas les affaires des allemands ; j’aurai préféré les maintenir volontairement en "Desperation Morale" comme il est possible de le faire pour les unités sous "DM" qui ne se trouvent ni dans des bois ni dans des bâtiments. L'intérêt me direz-vous ? Eh bien j'aurai pu les "forcer" à évacuer ma première ligne à la prochaine Phase de Déroute ; actuellement, elles sont un handicap à un possible futur assaut !
"Reprends-toi ou recule de là !" grogne le sous-officier des Fallschirmjägers à l’attention de son homologue blessé. L’homme au regard acier semble perdre patience ; Praun sait qu’il va avoir besoin d’un maximum de soldats motivés et combatifs pour emporter la décision...
Côté américain, le demi-squad retranché au sud-est ne peut tenter de se rallier seul ; il n’en a pas la capacité et le joueur américain est Défenseur sur cette séquence. Le leader (8-0) tente de rallier le squad qui a reculé lors de la dernière déroute, et cela fonctionne ; les "aigles" sont de nouveau d’attaque.
Tour 4, allemand : Phase de Feu Préparatoire (Prep Fire Phase, ou PFPh)
Même si la victoire va probablement se jouer à l’ouest, les allemands décident de ne pas rester inactif de l’autre côté du village ; qui sait ? Si l’enroulement échoue, une charge "de la dernière chance" sur la position gardée par le Sgt O’Brien et ses hommes pourrait être la solution ! Mais il faudrait pour cela faire baisser la tête aux Screaming Eagles.
Un groupe de Fallschirmjägers, épaulé par des soldats de 1ère ligne, tente d’en finir avec la poignée de paras qui les défient depuis trop longtemps, l’idée étant de libérer le bâtiment pour y positionner, si possible, un appui en prévision du dernier tour. Les "aigles" tiennent une nouvelle fois le choc (ils réussissent leur jet de moral, mais encaissent néanmoins un "Desperation Morale" pour cette nouvelle attaque sur leur position alors qu'ils sont déjà "brisés").
Un deuxième tir d’appui est effectué sur les paras U.S gardant l’entrée est de Vierville ; sans succès là encore ! Cet accès est pour le moment bel et bien verrouillé grâce à l’incroyable résilience des hommes de la 101st.
Tour 4, allemand : Phase de Mouvement (Movement Phase, ou MPh)
A l’ouest, du nouveau, forcément !
Un groupe de soldats de 2ème ligne effectue un audacieux mouvement d’assaut en direction de l’objectif situé en M4. Mal lui en prend car les américains réagissent promptement et une pluie de feu s’abat sur les infortunés soldats allemands !
Le premier tir "brise" l’unité et la réduit même en qualité (le 4-4-7 de 2ème ligne devient un 4-3-6 de conscrits). Le deuxième tir réduit le squad en demi-squad. Le troisième tir l’élimine définitivement ! Un massacre... mais pas forcément inutile puisqu’il a consommé quelques tirs défensifs au prix d'une unité relativement "sacrifiable".
Cela permet à un deuxième groupe du 919ème Grenadier-Regiment de contourner par l’ouest et de se positionner dans la grande maison (en L3) convoitée par les deux camps. Ils essuient au passage un tir défensif des hommes d’O’Brien mais cela ne les arrêtent pas pour autant. Leur leader suit mais ne pénètre pas dans le bâtiment pour éviter le "résiduel" assez violent (6) que le tir défensif a posé sur l’hexagone.
Les Fallschirmjägers fraîchement arrivés sortent du bois et pénètrent dans Vierville par le sud ; là encore, le tir défensif des paras U.S (très lointain et au travers de plusieurs vergers !) n’entrave pas leur avance.
Enfin, à l’est, profitant que les "aigles" aient concentré leur feu sur d’autres cibles, un groupe de combat du 6ème Fallschirmjäger Regiment traverse la rue pour en découdre avec leurs homologues américains, déjà réduits et "brisés", avec l’espoir de réduire (enfin !) au silence cette poche de résistance.
Tour 4, allemand : Phase de Feu Défensif (Defensive Fire Phase, ou DFPh)
Les américains ont épuisé toutes leurs opportunités de tir durant les mouvements allemands. Il n’y a pas d’autre tir à cette phase.
Tour 4, allemand : Phase de Feu Avancé (Advancing Fire Phase, ou AFPh)
Les parachutistes allemands sont des spécialistes de l’assaut ; il est temps de nous le démontrer !
Le squad qui s’est approché de la "forteresse de l’est" tente un tir à bout portant sur les Screaming Eagles ; leur FP, divisé par deux dans un premier temps, est multiplié par deux du fait du tir à bout portant... et se voit incrémenter d’un +1 grâce à leur capacité "tir d’assaut". 6 de FP en AFPh, c’est pas mal... mais cela sera-t-il suffisant pour venir à bout de ces solides adversaires ?
Les murs de la bâtisse normande, qui tiendraient plutôt du gruyère suisse désormais, protègent une nouvelle fois efficacement ses défenseurs.
Les deux autres groupes de Fallschirmjägers qui font feu à travers les vergers sur l’arrière de la maison n’obtiennent pas plus de résultat. Mais malheureusement...
Tour 4, allemand : Phase de Déroute (Rout Phase, ou RtPh)
... c’est la fin de la résistance de cette vaillante troupe de paras U.S.
L’unité est obligée de dérouter car elle ne peut rester adjacente aux Fallschirmjägers, et tous les hexagones éligibles pour ce mouvement la rapprocheraient d’une unité ennemie qu’elle peut voir. Ces soldats de la 101st n’ont d’autre choix que de sortir de leur abri en levant les mains (à ASL, ils se rendraient et seraient capturés, mais dans le SK, ils ont simplement éliminés) ; c’est la première perte encaissée par les américains !
Tour 4, allemand : Phase d’Avance (Advance Phase, ou APh)
A l’ouest, le leader (7-0) allemand vient soutenir ses hommes sur l’objectif en L5 (en espérant réussir à les rallier à la prochaine RPh) et les parachutistes menés par leur leader (9-1) se positionnent dans la maison juste derrière, prêts à faire feu sur les américains qui approcheraient... ou à reprendre le bâtiment au corps-à-corps si il venait à tomber.
A l’est, les Fallschirmjägers prennent place là où quelques minutes auparavant se trouvaient encore leurs adversaires désormais éliminés. Le deuxième groupe rejoint la première ligne, prêt à donner l’assaut au dernier tour pour faire basculer la victoire si nécessaire...
Tour 4, allemand : Phase de Close Combat (Close Combat Phase, ou CCPh)
Eh non, toujours pas !
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