Discussions et questions-réponses concernant ASL > AAR - Parties d'ASL commentées

J'ai joué en 2023

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pnaud:

--- Citation de: barns le 13 Novembre 2023, 10:21 ---j'ai pas de chance, il a fait que des 3 et 4 !

--- Fin de citation ---

P..., non, dès le matin.. qu'est ce que ça va être ce soir.

Hill621:

--- Citation de: PanzerGG le 13 Novembre 2023, 15:57 ---De dos je ne te reconnais pas... ou alors tu t'es fait des implants capilaires  :-$

--- Fin de citation ---

Je confirme, photo prise pendant des vacances lorsque j'étais en poste à San Francisco. Il a beaucoup aimé la visite du fameux quartier de Castro. Je lui ai demandé de rentrer au pays après la 4ème visite en 2 jours, je trouvais qu'il prenait un chemin glissant et boueux....

Hill621:

--- Citation de: PanzerGG le 13 Novembre 2023, 16:07 ---Dans tes souvenirs rappelle toi que tu as dû certainement monté une fois à l'assaut du Bundestag.... pas du Putenstag  :-D

--- Fin de citation ---

Oui mais je l'ai joué en décembre, j'étais enrhubé  :-$

PanzerGG:

--- Citation de: Hill621 le 13 Novembre 2023, 17:32 ---Oui mais je l'ai joué en décembre, j'étais enrhubé  :-$

--- Fin de citation ---

Ah je comprends mieux. Soigne toi bien !

Hill621:
TOUR 3.
Je sais c'est long, mais comme disait ma grand-mère, je cite : "plus c'est long, plus c'est bon !"

Les premiers succès alliés arrivent par le Nord de Jebsheim, avec la prise par abandon de l'ennemi d'un bâtiment objectif en passe d'être encerclé par les hommes du 1er RCP. Les paras sont à peine ralenti par un champ de mines lâchement positionné en avant des troupes ennemis (mais non couvert par leurs tirs, ce qui rend les déroutes moins malaisées dans ces foutus mines). Les allemands s'enfuient avec sagesse (et une pointe d'effroi) de l'autre côté de la rue dans une rangée de maisons mitoyennes, les fameux pièges à cons.
Le mortier allemand, dirigé par un observateur bien planqué continue de faire pleuvoir sa grêle d'acier sur la droite des français. Mais qu'à cela ne tienne, pour l'honneur et le drapeau, ces derniers continuent d'avancer inexorablement, soulagés par ailleurs par l'absence de blindés ennemis dans le secteur. Les M10, enhardis, en profitent pour coller à la première ligne mais point trop quand même, je vous rappelle que nous sommes en 1945 et que les Panzerfaust sont plus nombreux que les frisettes sur la tête d'une pute (citation empruntée au film Danse avec les loups).

Au centre, un type nommé Müller, grand escogriffe au corps torturé par la maigreur et la santé fragile, a eu le tort de passer la tête par la fenêtre du 2ème étage d'un immeuble d'où il a reçu l'ordre de diriger le tir de l'artillerie du bataillon (81mm) : Müller est myope, et ceci l'a contraint à sortir son museau de sa cachette. Pas bonne idée. Plusieurs tubes lui adressent leurs salutations et avec un ML6, on a tendance à tirer facilement sa révérence. Bon, que l'on se rassure, l'artillerie allemande n'est opérationnelle qu'à compter du tour 4 donc pas de problème dans l'immédiat, ce ne sont que quelques éclats de schrapnels, pas de quoi en déféquer une horloge normande.
Nan. Plus inquiétant est la présence d'un kill stack US à 30FP -1 leader qui fait fuir les candidats au suicide et libère le chemin un peu partout à l'approche de deux immeubles objectifs. Et on notera aussi le retour du roi de la manivelle, mon propre observateur d'artillerie (du 105, la mienne est plus grosse que celle de Barns on dirait bien) qui va gentiment trouvé THE position pour embrasser tout le paysage urbain au centre.  Son premier appel est bien sûr mal dirigé mais contribue à faire reculer encore une fois le méchant 10-2 qui va vite devenir ma bête noire. A traiter en priorité donc.

Côté héros du jour à ma droite, le M10 survivant parvient par miracle à échapper à la raclée promise par le JagdPz, et prend la poudre d'escampette par la route forestière, à priori à l'abri. Y'en a qui ont vraiment du cul. Se faisant, il abandonne la section d'infanterie à son sort peu enviable qui consiste à subir les tirs plongeants d'une HMG et la contre-attaque d'une trentaine de soldats allemands goguenards. Le sous-officier yankee, qui porte le nom de Hunter, se retrouve à son tour chassé, quel curieux retournement du destin.

Ca progresse plutôt bien donc, et il reste 3 tours pour tenter d'arracher la victoire par mort subite à mon cher Barns. Ce dernier use de toutes les techniques de guerre psychologique pour ébranler mon moral, comme par exemple rendre un second Sherman Recall avec son sniper (la première erreur est pardonnable. Après on pourrait penser que je le fais exprès...).

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