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AAR Copenhague 2009 (long)
Disrupt Michael:
--- Citation de: Fridtjof le 24 Février 2009, 11:42 ---Non non, je me suis mal exprimé! Les scénarios Friendly Fire sont excellents, du moins ceux que j'ai essayés, et très populaires en Scandinavie!
Mais si j'ai la chance de participer à nouveau j'essaierai de les éviter en les classant no 3, parce que la majorité des joueurs présents les connaissent à fond: ils les ont playtestés, joués au tournoi de Linköping, se sont échangés des tonnes d'info... Déjà que les types ont un super niveau, je ne vais pas en plus prendre le risque de jouer les scénarios sur lesquels ils se sont le plus préparé! :-)
--- Fin de citation ---
Je comprends ce que tu veux dire, mais je pense que le seul moyen de lutter contre les Suédois, c'est de devenir aussi expérimenté qu'eux. Plus tu joues et plus tu fais de tournois, plus ton niveau de jeu monte et ta confiance en toi aussi. La préparation ne fait pas tout. La plupart des joueurs suédois jouent beaucoup et font au moins un tournoi par an (Linkoping, Stockholm, Copenhague ou Arnhem) pour les moins motivés d'entre eux, les plus motivés font tous ces tournois plus ASLOK. Alors, leur "secret", réside plus dans leur pratique du jeu que dans un bachotage pré-tournoi. Une fois que tu les as démystifié, tu cesses de les craindre et tu prends un grand plaisir à jouer contre eux, et parfois tu gagnes, parfois tu perds.
Et puis, même si beaucoup ont un setup copié sur celui de Melvin Falk sur certains scénarios, au cours de la partie, au cours du jeu, ils ne sont pas Melvin, alors tu as tes chances.
Il y a quelques années, à Barcelone, en manque d'inspiration sur un scénario je suis allé voir Philippe Briaux qui jouait le même scénario avec le même camp et il m'a expliqué son plan d'attaque. Je l'ai appliqué à la lettre, il a parfaitement réussi au début et pourtant j'ai perdu la partie. Philippe de son côté a aussi appliqué son plan, celui-ci a foiré (les dés ne suivent pas toujours) au début, pourtant il a gagné le scénario. Ce jour là, j'ai compris qu'avoir le plan ou le setup de Philippe ne suffisait pas, car c'est moi qui poussais les pions, depuis je réfléchi tout seul à ce que je dois faire et je pense que je joues beaucoup mieux.
Philippe Briaux:
Michel, tu avais oublié le ppint le plus important de ma stratégie : tricher en finesse :-)
Disrupt Michael:
C'est bien, ce que je dis, je ne suis pas toi, il y a des trucs que je ne sais pas faire (je parle de la finesse ;-)).
Fridtjof:
--- Citer ---Je comprends ce que tu veux dire, mais je pense que le seul moyen de lutter contre les Suédois, c'est de devenir aussi expérimenté qu'eux. Plus tu joues et plus tu fais de tournois, plus ton niveau de jeu monte et ta confiance en toi aussi. La préparation ne fait pas tout. La plupart des joueurs suédois jouent beaucoup et font au moins un tournoi par an (Linkoping, Stockholm, Copenhague ou Arnhem) pour les moins motivés d'entre eux, les plus motivés font tous ces tournois plus ASLOK. Alors, leur "secret", réside plus dans leur pratique du jeu que dans un bachotage pré-tournoi. Une fois que tu les as démystifié, tu cesses de les craindre et tu prends un grand plaisir à jouer contre eux, et parfois tu gagnes, parfois tu perds.
--- Fin de citation ---
J'ose espérer qu'il n'y a pas besoin de jouer 100 parties (196 pour Melvin l'an dernier) et trois tournois par an pour pouvoir atteindre leur niveau. D'un autre côté avoir un groupe de joueurs aussi forts dans un tournoi ca tire tout le monde vers le haut, c'est plutôt une bonne chose.
L'éléphant:
Il n'y a pas de secret : il faut beaucoup jouer et apprendre par la pratique.
Entièrement d'accord avec Disrupt Michael : un excellent set up est important mais au bout de deux ou trois tours, le joueur est seul face à la stratégie de son adversaire et c'est tout l'intérêt du jeu.
Il y a quelques années Yves Tielemans m'avait dit que le niveau moyen des joueurs ne cessait de s'améliorer.
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