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VotG - CG I

Hors ligne Hill621

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"Encore un AAR dans les rues de Stalingrad !" me direz-vous.
Oui, mais avouez qu'on ne s'en lasse pas de ce module historique.

L'état-major de la 62è Armée m'a confié la lourde tâche de tenir la gare centrale. Chuikov n'ignore pas que je ne dispose que de quelques éléments composites de la 10è division NKVD et de la 42è brigade de fusilliers, sans autre support blindé qu'un T34 dont la chenille a sauté lors d'une manoeuvre de camouflage au rez-de-chaussée d'un immeuble de la Communistichskaya. Néanmoins, le camarade Chuikov m'a informé de l'arrivée imminente de la 13è division de la garde et m'a promis son soutien dans les heures à venir. En attendant, et face à la menace allemande, je reçois le prompt renfort d'une compagnie de fusilliers et des restes de la 10è NKVD : ces unités seront placées en réserve du front, pour parer à toute percée allemande.
J'ai mobilisé un grand nombre de civils, demeurés dans les caves des immeubles du secteur, afin d'ériger des barricades et de fortifier quelques points d'appui. L'état major m'a également fait acheminer quelques rouleaux de barbelés et un stock important de mines anti-personnels que mes hommes se sont empressés d'enterrer aux abords de la gare et de la maison des enfants. Le bataillon nous fournira un appui d'artillerie : certes, les obus de 70mm ne risquent pas de faire effondrer les bâtiments en pierre, mais les seuls obus de répérage donneront peut-être à réfléchir aux landsers qui manifesteraient quelque vélléités de traverser les glacis.

Mon plan de défense doit concilier la faiblesse de mes effectifs, la large zone à défendre et la nécessité de tenir la gare centrale. Ma plus grande crainte est de voir mon flanc sud débordé par l'ennemi : le terrain y est plus dégagé et propice au déploiement de chars. Rien ne pourrait alors s'opposer à une pénétration des troupes allemandes, voire une infiltration en nombre sur les arrières de mon dispositif, par la rue Communistichskaya. Pour contrer cette menace, j'offre à mon adversaire une opportunité unique : s'emparer des quartiers au nord de la gare centrale. Cette position, qui lui permettrait d'avoir une vue sur la place de la gare, ne manquera pas de l'attirer, surtout s'il peut s'en emparer sans combats. Je doute qu'il ait suffisamment d'unités pour se disperser entre cet objectif de choix, la gare centrale et une manoeuvre de débordement au sud. Espérons que ce piège fonctionne, sans quoi mon flanc sud ne fera pas de vieux os.

Installé dans les étages d'un immeuble dévasté de la place de la gare, j'observe avec satisfaction l'entrée en action des forces nazies. Ce qui semble être une compagnie de landsers progresse au nord le long de la Communistichskatya, appuyée par une section de StuG. Quelques éléments épars s'approchent de la gare pour l'Ouest : ces soldats, lourdement chargés, doivent appartenir à une unité de pionniers. Juste en-dessous de la gare, une autre compagnie d'infanterie progresse sans encombre jusqu'aux premières habitations. Plus au sud, personne... Aucun soldat allemand ne semble s'aventurer vers la caserne des pompiers. Je ne cache pas mon soulagement aux hommes qui m'accompagnent. Nous allons pouvoir sereinement nous concentrer sur la défense de la gare.

Au nord, les allemands progressent lentement, gênés par le terrain meurtri par les bombardements récents. Ma compagnie de réserve a d'ailleurs subi un bombardement aérien, mais aucune perte n'est à déplorer. Les sonnettes d'alarme placées au-delà de la Volgogradskaya voient les éléments de tête s'approcher. Mais le secteur demeure calme. Seuls quelques soldats allemands sont dispersés par des obus de mortier de 82 (ce dernier est placé au second étage d'un immeuble dévasté K40), alors qu'ils avançaient imprudemment en pleine rue.
Aux abords de la gare, la progression allemande est également lente : les wagons entassés sur les voies de chemin de fer ralentissent les soldats nazis. Quelques tirs se font toutefois entendre au sud de la gare. Les allemands montrent ici un peu plus d'aggressivité. Mais mes ordres sont clairs : refuser autant que possible les échanges de tirs, et tendre des embuscades aux allemands lorsqu'ils tenteront de s'emparer de nos positions.

L'ennemi se rapproche. Plusieurs tentatives sont faites pour prendre pied dans la gare. Je crains l'entrée en action de lance-flammes. Un soldat allemand parvient à faire exploser une charge de démolition sur le mur nord de la gare. Je dépêche en urgence des renforts pour contenir cette attaque hardie. Fort heureusement, les troupes allemandes ont stoppé leur progression face à la maison des enfants : quelques obus de repérage de l'artillerie de bataillon semble les avoir refroidis. Tant mieux, cela me permet d'envoyer une section renforcée vers la gare.

Les allemands n'avancent plus. Les échanges de tirs sont fournis. Soudain, mes troupes semblent prendre le dessus. Les allemands craquent. La section de pionniers qui menait l'assaut principal est mise en déroute. L'officier qui menait notre contre-attaque prend alors une initiative remarquable : il s'est aperçu que les forces allemandes ne disposaient pas de réserve. Aussitôt, il rassemble une trentaine de soldats parmi les fusilliers et les NKVD et se lance à la poursuite des pionniers allemands. Au bout de quelques minutes de course poursuite à travers les wagons dévastés et les ruines, il parvient à contraindre plus d'une vingtaine de soldats d'élite allemands à se rendre ! Une mitrailleuse judicieusement placée empêche les allemands de venir au secours de leur fer de lance. Le terrain à l'Ouest de la gare est partiellement reconquis, mais c'est surtout les pertes infligées aux allemands qui font monter l'adrénaline parmi nous !

Plus au sud, le succès remporté par nos défenseurs réveillent l'ardeur de nos soldats. Quelques éléments isolés progressent vers l'Ouest, sans rencontrer de résistance, et menacent à leur tour les allemands d'encerclement. Malheureusement, nos troupes sont trop peu nombreuses, et le repli tactique des landsers nous empêche d'exploiter leur avance.

Au nord, c'est le statu quo : les StuG s'empêtrent dans les débris qui jonchent la rue. Ils appuient de leur feu les fantassins allemands qui parviennent à s'emparer de tous les bâtiments au nord de la Volgogradskaya. Au-delà, je n'ai pas l'intention de les laisser avancer... Un nid de mitrailleuses calme leurs ardeurs. Un assaut audacieux vers les abords nord de la gare est également sanctionné par les rafales de traçantes et les mines, malgré la couverture procurée par un rideau d'obus fumigènes. Des corps de soldats allemands parsèment le terre-plein face à la gare.

C'est fini. L'assaut allemand est repoussé dans le sang. Les prisonniers sont rapidement acheminés vers l'arrière pour interrogatoire. Nous n'avons que quelques pertes à déplorer (2,5 squads). Les gains territoriaux obtenus par les allemands au nord sont le prix à payer pour cette belle victoire. Mais la gare reste fermement entre nos mains, et les pertes des nazis sont importantes.

Alors que les tirs baissent rapidement d'intensité, Chuikov me téléphone personnellement. Il me félicite chaleureusement et m'indique que des éléments de la 13è division de la garde commencent à débarquer sur la rive Ouest de la Volga. "Camarade ! Prépare-toi à contre-attaquer ! Nous allons donner une bonne leçon aux fascistes !"

La nuit s'annonce agitée... J'allume une machorka, alors qu'une bouteille de vodka circule parmi nous...
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Hors ligne Bert

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Pas de photos ? :-$
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Hors ligne Hill621

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Col Kilgore a pris un ou deux clichés je crois. ;-)
Il publiera son AAR, côté allemand, dans les prochains jours.

Le problème, c'est qu'à Stalingrad, c'est surtout l'allemand qui pratiquait la reconnaissance aérienne.
Nous, pauvres moujiks, n'avions que les biplans, la nuit en plus...
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barns

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avec cet AAR ont aperçoit  la schizoprénie de Hill621

chuikov qui téléphone personellement c'est ridicule :-D
par contre moi j'ai eu un coup de fil du généralleutnant  Ritcher pour ma belle défense du pont de Bénouville face au major JLB
« Modifié: 05 Février 2009, 16:40 par barns »


Hors ligne colonel Kilgore

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Les photos sont prises mais vu mes compétences je sens que je vais galérer pour les mettre sur le forum mais j'va essayer !
Charlies don't surf !


Hors ligne Guillaume

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Merci pour cet AAR, préparant moi-même mon assaut, c plutôt instructif!

Guillaume
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Hors ligne Hill621

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par contre moi j'ai eu un coup de fil du généralleutnant  Ritcher pour ma belle défense du pont de Bénouville face au major JLB

Impossible...
Il participait à un Kriegspiel et les communications téléphoniques avec les unités de la 716è au front avait été coupées par la résistance.

Tu dis n'importe quoi...

Alors que Chuikov, lui, il m'a bel et bien appelé !
D'ailleurs on était obligé de réparer les lignes entre 3 et 4 fois par jour à cause des bombardements allemands...

Chui pas fou quand même !!!
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Hors ligne Hill621

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15 septembre 1942, 23h54...
La nuit drappe de sa sombre étoffe les ruines constamment fumeuses de Stalingrad. Encore à peine une minute, et notre artillerie déclenchera un feu d'enfer sur les toutes proches positions allemandes. Déjà, les premiers sapeurs de la 13ème division de la garde atteignent nos positions. Le camarade Chuikov a tenu ses promesses : ces soldats d'élite, le visage grave, avancent en silence au milieu des gravats. Le sous-officier qui les accompagne vient prendre ses consignes : je lui indique les positions allemandes que mes fantassins ont pu reconnaitre à la tombée de la nuit.
Les nazis ont commencé à renforcer les positions conquises pendant la journée : quelques mitrailleuses lourdes ont été mises en batterie de l'autre côté de la Volgogradskaya. Les allemands sont en alerte, et seuls quelques immeubles ont pu être approchés par mes frontoviki : les reconnaissances n'ont donc pas donné les résultats escomptés. Toutefois, il est clair que les allemands se sont barricadés aux abords même de la ligne de front. J'ignore cependant la profondeur de leurs lignes...

J'ai transmis mes consignes aux soldats qui défendent la gare centrale et les quartiers sud : éviter tout contact avec l'ennemi. L'effort principal sera dirigé vers le nord. L'état-major général m'a indiqué que les unités placées à la droite de mon dispositif effectueront une manoeuvre offensive similaire afin de repousser les allemands vers l'Ouest.
J'ai également ordonné à une section de se porter en avant de nos lignes au nord de la gare, au-delà des voies de chemin de fer : leur mission est de menacer les arrières des allemands. Les soldats me rapportent qu'un char a été aperçu dans la rue. Je leur fais porter un lance-flammes de prise. Cela devrait régler ce problème.

23h55. L'horizon s'illumine à l'Est, de l'autre côté de la Volga. Un grondement sourd se fait rapidement entendre. Les sifflements des obus se succèdent, suivis de très près par de terribles explosions. Du 120mm s'abat sur le quartier de l'autre côté de la Volgogradskaya. L'obscurité grandissante (NVR 2) gêne cependant le repérage pourtant prévu à l'avance : l'observateur d'artillerie qui avait précédé l'arrivée des renforts de la 13ème, parvient malgré tout à corriger le tir. Si les premiers obus tombent à l'arrière de la ligne allemande sans faire de dégâts apparents, les suivants s'abattent directement sur les immeubles en ruines. Bien vite, à la lumière des explosions, j'aperçois des silhouettes qui jaillissent des ruines. Les cris des blessés parviennent à nos oreilles malgré le vacarme. Les allemands semblent durement secoués. Un char positionné dans la rue est touché par un obus : tombé à proximité, il a littéralement arraché une chenille du StuG : l'équipage s'extrait en hâte et parvient à se glisser à l'abri.

Soudain, le barrage d'artillerie se déplace vers l'Ouest, traverse la Communistichskaya et tombent sur de nouvelles positions allemandes, où un nid de mitrailleuses lourdes avait été repéré. En même temps, les sapeurs s'élancent dans la Volgogradskaya : ils ne trouvent aucune opposition sur leur passage. Quelques soldats ennemis hagards sont passés au fil de la baionnette alors qu'une masse désordonnée s'enfuit vers le nord. Le lance-flammes de la section est mis en action, mais il semblerait que dans la précipitation avec laquelle la 13ème division a traversé la Volga, certains équipements aient été négligés : une courte flamme s'échappe de la gueule de l'engin, puis plus rien...
Une compagnie de fusilliers de la garde talonnent les sapeurs. Les étages des maisons nouvellement reconquises sont rapidement nettoyés. La progression est cependant très lente dans cette obscurité. La pointe de l'attaque atteint la Communistichskaya. Quelques irréductibles résistent encore mais sont annihilés en un furieux corps-à-corps. Un autre StuG bloque la rue : les mitrailleuses lourdes qui prennent l'artère en enfilade prennent le char à partie à la faveur d'une fusée éclairante lancée des lignes allemandes. L'équipage a laissé les trappes du monstre d'acier ouvertes : les balles s'engouffrent dans le char, ricochant sur les parois. L'équipage s'enfuit en toute hâte vers l'Ouest. Mes troupes sont désormais maître du terrain. Les allemands ne semblent pas disposer de suffisament de troupes pour donner de la profondeur à leur dispositif de défense. Les immeubles au nord sont repris sans coup férir, et les voies de chemin de fer sont inspectés à leur tour.
De l'autre côté de la Communistichskaya, malgré une farouche résistance des allemands, l'artillerie et les tirs concentrés d'un nid de mitrailleuses lourdes viennent à bout des défenseurs. Mes fusilliers s'avancent sur la place de la gare, atteignent le mur d'enceinte du quartier convoités, s'infiltrent dans les rez-de-chaussée, et entreprennent de chasser les derniers survivants à la grenade. Une poignée de landsers parvient malgré tout à s'échapper à la faveur de la nuit, mais les positions sont désormais entre nos mains.

Plus à l'Ouest, au-delà des voies de chemins de fer, une section de fusilliers parvient à approcher le StuG posté dans la rue. Quelques tirs imprécis ne parviennent pas à effrayer mes valeureux soldats qui déclenchent alors l'enfer contre le véhicule blindé isolé, au moyen d'un lance-flammes de prise : il prend rapidement feu, ne laissant aucune chance à son équipage. Mes soldats hésitent cependant. L'absence d'infanterie dans le secteur serait-elle un piège ? Bien vite, leur avance prudente se heurte à un nid de résistance. Profitant de l'élan, les soldats se lancent au corps-à-corps. D'abord indécis, il tourne bientôt en leur faveur, grâce à un prompt renfort. Aucune autre opposition dans le secteur. Les soldats se dispersent alors et ratissent les voies ferrées du nord vers le sud, pour finalement faire leur jonction avec les camarades de la 13ème division au milieu des rails.

Dans l'intervalle, les landsers sont restés prostrés au sud de la gare. Aucun sous-officier n'a réussi à activer les troupes. Aucune fusée éclairante n'est venue perturber le calme relatif des positions. Il faut dire que mes troupes ont fait preuve d'une remarquable discrétion, ne donnant à aucun moment l'occasion aux allemands de faire un carton.

L'opération est un succès total. Nous n'avons que quelques pertes, alors que les allemands ont perdu près d'une compagnie de landsers et une sectio de StuG sous le déluge de feu de notre artillerie et les tirs concentrés de nos mitrailleuses. Rapidement mis en déroute, les nazis ont été constamment pourchassés par les camarades de la 13ème division de la garde qui ne se sont jamais encombrés de faire des prisonniers. Nombre de blessés ont été achevés sur place, et les snipers s'en sont donné à coeur joie, se mêlant directement aux unités de tête. Les tirs précis de l'artillerie ont également prélevés un lourd tribut parmi les défenseurs. Par ailleurs, on comptera de nombreux officiers (4) parmi les victimes : certainement un coup dur pour les allemands.

Les soldats sont partis au combat le ventre vide. Je fais rapidement acheminer le ravitaillement vers les premières lignes, en même temps que des caisses de munitions et de grenades.

Le camarade Chuikov ne m'a pas téléphoné. Non. Le camarade Chuikov est venu à mon PC. Son visage d'ordinaire sévère était illuminé d'un large sourire. Aucune anxiété ne venait marqué ses traits. Il avait une bouteille dans une main, une bouteille déjà entamée. Après m'avoir serré dans ses bras puissants et congratulé de sa voix forte, nous avons partagé le reste d'un délicieux whisky américain, breuvage que seuls les officiers généraux ont le privilège de détenir en cet endroit du front.

Le reste de la nuit s'est écoulé calmement, seulement ponctuée par quelques coups de feu sporadiques. L'allemand est saigné à blanc, je le sais.
Gageons que demain sera une journée sans combats. Mes troupes ont besoin de repos, et je dois organiser la défense des lignes nouvellement reconquises.
Malgré l'indéniable succès de cette nuit, le moral n'est pas au rendez-vous parmi les frontoviki : trop de combats, trop de fatigue, trop de privations (ELR 2...).
Heiður , Hugrekki , Aga og Hollusta
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barns

  • Invité
il est beau ton AAR, fais gaffe au whisky, j'en ai bu avec les gars de ma compagnie pour fêter notre défense sur le pont de Bénouville, j'ai mal le crâne...



Hors ligne Hill621

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Bah, c'est pas trop le whisky, mais surtout les obus allemands qui s'abattent continuellement sur nos positions qui me foutent mal au crâne... Mais bon, ça passera.
Bon, je retourne à mon QG faire le point sur la prochaine défaite des envahisseurs fascistes.
J'en profiterai pour jeter un coup d'oeil à notre plan de contre-attaque sur Pegasus bridge.
Tout est très confus dans mon esprit... Et cette camisole m'empêche vraiment de m'épanouir...
Je vais aller reprendre un cachet... :mad:
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Hors ligne colonel Kilgore

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Bon, je signale que Hill et moi avons préferer arréter cette campagne ... En effet nous avons commis de nombreuses boulettes de régles ( cellar dans la gare, pb de TEM sur les fortified contre l'oba, ... ) et de plus, aprés cette initiation aux régles de campagnes j'ai envie de plus fort et de plus gros. En dehors de nos erreurs, cette campagne me semble trés interessante pour une initiation au Campaign Game : surface de jeu et effectif raisonnable, objectif clair ( prendre la gare ), jeu rapide ... Trés bien. En ce qui concerne les stratégies, j'ai tenté l'assaut massif sur la gare et je pense que j'ai commis une erreur. Essentiellement parce que j'ai été incapable d'appuyer mon assaut par un des flancs. Au début j'ai choisi le nord, j'y ai bien progressé mais la féroce contre attaque russe de la premiére nuit m'en a déloger en beauté ( j'm suis fais botter le cul ) tout en hachant menue une compagnie entiére de Landsers ... Pas glop ! De plus j'ai commis plusieurs erreurs de placement ( notamment la nuit où j'étais placé trop prés de mon adversaire ce qui lui a permis de me déloger à coup d'OBA) . Je me suis entété à attaquer au centre et en force ( style Nick Nolte dans la Ligne Rouge ) ce qui m'a couté cher en squad ... De plus je n'ai eu de chance aux dés que pendant la Rephit Phase ... Dérriére Zobi ... Des Booby Traps à foison, des 838 qui ne cesse de rater leur MC, des Wounds Severity DR qui font 5 ou 6 à chaque fois, une OBA qui claque en deux tours ( 2 shits rouges sur un pot plentiful ... Les boules ), etc, etc ... Par contre, j'avais réussie une belle avance au sud en profitant de mes platoons de StuG IIIB acheté moitié prix le 16/09 et d'un joli Armor Leader 9-2 ... Hélas nous avons mis fin à notre campagne ... Je pense toutefaois que le russe l'aurait emporté car mes pertes devenait handicapantes ( la nuit m'a fait trés mal ) et mon adversaire est un bien meilleure stratége que moi.

Nous nous lançons maintenant dans la CG IV de VotG ... Raah Lovely ! Des nouvelles sous peu ( je pense )
« Modifié: 10 Mars 2009, 21:11 par colonel Kilgore »
Charlies don't surf !


Hors ligne amx30

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"voix du parrain"
"ah petit si tu veux des cours de lancer de dés viens me voir"
eh hill621  :-D :-D :bien vos comptes rendus.

objectif 2015 : commencer par l'aslsk


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