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INOR CGIII - Flanking the Maginot line>

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Une soixantaine de chaque côté. Dès que les pertes augmentent je fais de l'huile. Le fait de devoir écrire toutes ces lettres aux parents et épouses me fait froid dans le dos... :-$
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Une soixantaine de chaque côté. Dès que les pertes augmentent je fais de l'huile. Le fait de devoir écrire toutes ces lettres aux parents et épouses me fait froid dans le dos... :-$

Ah oui quand même, il y a une belle densité.
Donc de l'oba est très nécessaire pour une attaque efficace :) (l'artillerie conquiert ...)
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Les allemands ont prévu d'amuser la galerie.
Un module 81 va taper sur le cimetière.
Un autre de 75 plentiful ammo va traiter les cibles potentielles dans les bois en contre-pente.
Ca va faire serrer les fesses et écarter les rangs en même temps.
Attaque d'infanterie avec sapeurs en tête sur la gauche du 11ème REI, en lisière du bois d'Inor, histoire de ne pas avoir à se frotter aux gros baraqués tatoués et de percer utile vers l'entrée Est d'Inor.

La compagnie de renfort des bandes molletières est encadrée par un 8-0 grabataire et un 6+1 sorti des couloirs de l'état-major général de Paris...
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Non, mais allo quoi ?
Il faut rebaptiser ce forum : Inor par ci, campagne Inor par là, on s'écharpe ailleurs sur les blés en saison ou pas pour le placement. On a l'impression que seul ce module existe, c'est dingue ! Quel franchouillerie. heureusement que nous sommes nombreux à jouer des scénarios sur d'autres théâtres et je vais donc en présenter un que j'ai entamé :

Bois de la Hache

Scénario FT Inor 5... et m... !


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Non, mais allo quoi ?
Il faut rebaptiser ce forum : Inor par ci, campagne Inor par là, on s'écharpe ailleurs sur les blés en saison ou pas pour le placement. On a l'impression que seul ce module existe, c'est dingue ! Quel franchouillerie. heureusement que nous sommes nombreux à jouer des scénarios sur d'autres théâtres et je vais donc en présenter un que j'ai entamé :

Bois de la Hache

Scénario FT Inor 5... et m... !

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"La paix perpétuelle ne se trouve que dans le cimetière".
Münster ne parvenait pas à chasser cette citation de Kant de sa tête. Pourtant, ses études à l'université Frédéric-Guillaume remontaient à plusieurs années déjà. Mais le fait de savoir que l'objectif assigné à son unité était une nouvelle fois ce fichu cimetière français le ramenait à ses souvenirs d'étudiant à Berlin.
L'Unteroffizier Lerner et sa compagnie de Grenadieren avaient été placés sous ses ordres pour la durée de l'opération.
Il savait aussi pouvoir compter sur l'appui d'une section de mortiers de 81, d'un obusier de 150mm, d'une section de mitrailleuses lourdes commandée par le Leutnant Gielsen, et surtout, de deux batteries d'artillerie du bataillon, une de canons de 75 et l'autre de mortiers de 81. Cela augurait de bons résultats. Les officiers et sous-officiers s'étaient réunis la veille au soir et les préparatifs avaient pris toute la matinée.
Les mortiers et obusiers devaient procurer une couverture fumigènes aux fantassins pendant que l'artillerie se réglaient sur le cimetière et les nids de mitrailleuses détectés à l'Est d'Inor.
Les fantassins avaient creusées des tranchées au nord du pont sur le ruisseau du fond de la Noue et s'y étaient regroupés pendant la nuit. La section d'assaut de Münster et une grande partie de la compagnie de Lerner avaient rampé silencieusement dans le sillon du ruisseau et se collaient désormais à la berge sud, prêts à bondir à l'attaque.
Des bruits sourds. Coups de départ des mortiers de 81. Les premiers obus vomissent leur fumée en touchant le sol aux abords du mur nord du cimetière.
Les obus de repérage de l'artillerie s'abattent presque simultanément entre les tombes du cimetière (81mm) et sur les pentes qui mènent au bois d'Inor (75mm).
Des rafales des mitrailleuses lourdes éclatent et fusent vers les bois.
C'est le signal.
Des coups de sifflets stridents déchirent l'air.
Münster se lève, gravit rapidement la lèvre du ruisseau encaissé, suivi par des dizaines de fantassins hurlants.
Le groupe de tête se précipite sur les barbelés installés par les défenseurs le long du mur nord du cimetière : une charge explosive file vers l'obstacle et soulève la terre en détonant. Une brèche béante apparait dans le réseau de fils métalliques. Les hommes se bousculent à cet endroit, profitant de la présence trop brève de la protection fumigène. Les français ont déserté le cimetière, abandonnant leurs bardas et des caisses de munitions. Münster crie littéralement sur ses hommes et ceux de Lerner, les encourageant à poursuivre l'élan. Les français les cueillent à bout portant lorsqu'ils atteignent le mur sud, tirant par-dessus le parapet d'une ligne de tranchées qu'ils ont creusées pendant la nuit. Le combat redouble d'intensité. La fuite des blessés et des hommes démoralisés croisent le flot des assaillants. Münster et Lerner s'engagent en première ligne, faisant le coup de feu avec leurs hommes. Galvanisés, ces derniers prennent le dessus sur les français qui se défendent pourtant comme de beaux diables. Ceux qui ne fuient pas meurent sur place ou sont faits prisonniers.

*****

Le sergent-chef Briaux s'est porté volontaire pour occuper les positions en première ligne avec sa section. Au soir du 19 mai, il a placé ses hommes avec la finesse qui caractérise ce sous-officier promis à une belle carrière : à la nuit tombée seulement, pour échapper à l'observation des boches, il a ordonné à ses hommes de commencer à creuser des tranchées au sud du cimetière. Ainsi, si les allemands parviennent à pénétrer dans le cimetière, ils seront cueillis à bout portant alors que ses hommes pourront bénéficier de la protection des fortifications.
Un groupe de volontaires a pris une partie de la soirée à dérouler des barbelés sur le mur nord du cimetière avant d'aller se terrer entre les tombes, servant de sonnette d'alarme au dispositif.
Une réserve d'une vingtaine d'hommes restent à couvert du bois, protégeant le canon anti-chars de 47 camouflés dans les buissons.
Les hommes se sont reposés le reste de la nuit.
Le rata perçu le lendemain, même parvenu froid sur les positions de la section, a renforcé le moral des soldats.

Pouuuuufffff..... Pouuuuufffff.....

L'air tiède de ce début d'après-midi s'emplit soudain d'explosions sourdes. Des volutes de fumées s'élèvent au nord du cimetière. Des obus s'écrasent sur le bois au sud des tranchées : tirs de repérage.
Les Berthier des gars en position avancée claquent. Les "cannes à pêche" ne suffisent vraisemblablement pas à arrêter les boches. Une forte explosion déchire l'air. Des hurlements. Soudain, le sergent-chef Briaux voit débouler ses hommes, talonnées par une nuée de soldats allemands. "Feu à volonté !" ordonne t-il. Toute la ligne déclenche un feu d'enfer. Les premiers soldats allemands refluent aussi vite qu'ils sont apparus. Cependant, il en arrive toujours plus ! Les sous-officiers s'agitent dans leurs rangs. Les premiers assaillants enjambent le mur du cimetière et se laissent tomber dans les tranchées. Des combats au corps-à-corps éclatent. Crosses de fusil, pelles de tranchées, coups de poing, pistolets, grenades, tout ce qui peut tuer ou blesser est utilisé. Mais les boches sont toujours plus nombreux.
Briaux ordonne à la réserve d'intervenir pour prendre la relève des hommes en première ligne qui commencent à flancher. A côté de lui, Roger, un agriculteur vendéen, hurle comme un damné en tirant avec un FM à la hanche.
Les allemands sont sur eux. Le sergent-chef Briaux, du haut de ses 1,86 m, écrase la crosse de son fusil sur la poitrine d'un Grenadier qui se précipite sur lui, et porte la main au fourreau de sa baïonnette pour achever l'attaquant. Il sent soudain une décharge fulgurante dans son dos. La lame qui lui transperce la capote et pénètre profondément dans son estomac reste coincée entre ses côtes. Un râle. Ses yeux exorbités par la douleur se lèvent vers le ciel mais se referment avant même que son corps ne s'affaisse de tout son long au fond de la tranchée.
Les allemands exercent une dernière pression et prennent position de la tranchée. Ils ne s'arrêtent toutefois pas là et sortent en nombre de la saignée pour s'élancer vers le bois, galvanisés par un sous-officier au visage rougi par le sang de ses récentes victimes. La réserve repousse les impudents, mais doit à son tour céder le terrain.

Dans les maisons à l'entrée d'Inor, le sergent Tinture a appris la mort de son ami Briaux de la bouche de fuyards qu'il se démène à rallier. Il sait qu'il lui faut agir vite avant de voir débouler les boches. Refoulant la peine visible sur son visage, il prend la décision de contre-attaquer sans tarder. Rassemblant une trentaine d'hommes, il quitte l'abri de la maison de pierres et traverse le terrain encombré de buissons pour se jeter à proximité du canon anti-chars. Ce dernier pivote vers le bois et décoche un obus vers les arbres où apparaissent déjà les casques à pointe. L'obus explose au milieu des fantassins dont une partie tourne les talons sans coup férir. Le sergent Tinture saisit l'occasion et ordonne l'assaut aux plus aguerris de ses hommes. Le combat est rapide et brutal, mais les boches sont repoussés, laissant plusieurs corps sur le terrain.
Les français n'iront toutefois pas plus loin. Le feu qui dégueule des tranchées les empêche de progresser plus avant. L'artillerie allemande n'aura jamais cessé de pilonner les positions françaises durant ce bref mais mortel combat.

Le cimetière est toutefois tombé. malgré l'héroïque résistance du sergent-chef Briaux et la valeureuse contre-attaque du sergent Tinture.
« Modifié: 12 Décembre 2021, 14:32 par Hill621 »
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Le sergent-chef Cortes est en charge du point d'appui le plus à l'Ouest de la ligne de défense du bois d'Inor, les légionnaires n'étant pas assez nombreux pour tous les couvrir.
Durant la nuit, les sentinelles ont repoussé plusieurs reconnaissances des allemands face à la tranchée.
Bah, le dispositif a prouvé son efficacité la veille. La Hotchkiss pointe son museau menaçant vers la forêt clairsemée, Un FM couvre la gauche, face à une ligne de barbelés. Une vingtaine d'hommes se reposent à une centaine de mètres en arrière : la réserve directe. Encore plus loin, c'est la section Rivier qui a pris position en lisière de forêt : mortier de 60 et Hotchkiss balayent la pente dénudée qui s'étend jusqu'à la départementale. "Rivier est un con, mais il connait le boulot" pense Cortes. "Dommage qu'on ait pas pu avoir de mines anti-personnelles pour parfaire la position..."
Dommage en effet. Les reconnaissances allemandes ont apporté l'information au chef de compagnie en tout cas.

Alors que des explosions montent en intensité vers Inor, la lisière opposée de la clairière s'embrase. Surpris par la violence des tirs, les hommes de Cortes baissent la tête, puis s'enfuient à toute jambe... Un dernier coup d'oeil en arrière donne à Cortes la mesure du danger imminent : des dizaines de fantassins allemands s'élancent entre les arbres, couverts par les mitrailleuses et mortiers.
Le FM aboie sur sa gauche. Courte et unique rafale. Une langue de flammes jaillit de derrière un arbre. Les soldats français hurlent de terreur... et de douleur. Une forte explosion finit de réduire la position. Charge explosive. Les sapeurs allemands sortent de leur abri et s'emparent de la tranchée. La dernière portion de tranchée est littéralement submergée par un autre groupe de boches qui surgit sur les arrières. Les défenseurs restants lèvent les bras. En quelques minutes, la position est tombée.

Les bois se remplissent d'uniformes allemands. Ils n'avancent plus, ils courent !
Le capitaine Perret engage sans hésiter toute la réserve, sans pour autant dégarnir les autres points d'appui, craignant une diversion qui cacherait une attaque générale pouvant emporter toute la ligne.
Combattant en reculant, les soldats français encaissent de lourdes pertes. Les allemands souffrent eux aussi, mais le nombre fait la différence. Les combats sont vicieux et la victoire passe successivement d'un camp à l'autre.
Les corps francs se précipitent d'un côté du front à l'autre et parviennent à arrêter la pointe de l'attaque allemande à l'endroit où la route de Malandry débouche du bois d'Inor.
Le capitaine Perret mène la contre-attaque en personne à hauteur du second point d'appui, avec l'espoir de reprendre le premier et de couper la retraite des allemands enfoncés dans la forêt. Le fringant officier n'a pas daigné coiffer un casque lourd avant l'attaque et progresse en tête de ses hommes avec son képi vissé sur le crâne. Les liserets dorés qui décorent le haut rouge de son couvre-chef d'apparat n'échappent pas à la vue perçante d'un sniper allemand. La balle touchera le capitaine à l'aine. Sans un cri, l'officier s'effondrera sur place tel un sac de sable. Aussitôt ses hommes ouvrent le feu et entourent le blessé. Le sang jaillit de sa blessure : fémorale est touchée. Quelques dizaines de secondes plus tard, les yeux vitreux de Perret se ferment. Sévèrement secoués, les hommes portent le corps vers l'arrière. L'officier succombera sans avoir repris connaissance.

A l'image de l'attaque allemande, la mort a frappé sans prévenir.
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Pertes françaises : 46 CVP (10,5 squads dont deux capturés, 2 crews et surtout... 7 leaders)
Pertes allemandes : 14 CVP (6 squads et 1 leader) - Capture de 2 LVP uniquement

L'artillerie allemande a prélevé un lourd tribut dans les rangs français. Les deux modules, quoi que modestes, ont largement oeuvré pour la victoire.
L'autre plaie de ce Date, ce fut le SAN : avec un SAN 4, chacun s'en est donné à coeur joie, à la différence près que les leaders français ont eu bien moins de chance que leurs homologues allemands.
L'attaque allemande a malgré tout été véritablement fulgurante et les pitoyables DR de MC des défenseurs leur a permis de faire voler la première ligne de défense en un tour. La chance de pouvoir faire sauter un Wire au premier tour à la DC a permis de submerger le cimetière plus rapidement que prévu. Les smokes étaient au rendez-vous également. Comme à la parade en somme.
Heureusement, leur course folle a été arbitrairement arrêtée par un Date en 5 tours seulement...
Certes les français s'étaient peu ou prou regroupés pour faire face à la marée, et l'attaque du cimetière avait couté cher aux assaillants, mais il y avait encore moyen de récupérer encore de précieux hexagones. Et il faut dire que les allemands ont soigneusement évité de se frotter à la légion...
Qu'à cela ne tienne, c'est une nouvelle et nette victoire allemande, avec encore une fois de nouvelles options intéressantes pour le prochain Date.

A noter que le fait de jouer seul m'a privé d'un plaisir que l'on oublie souvent : l'interrogation. 3 DR allemands de Wind change au cours du Date, soit 3 possibilités de dévoiler des HIP ou de compromettre encore plus la défense.
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Magnifique CR !
C'etait la journée du 20 Mai je pense.

Donc il reste deux CG date aux Allemands pour gagner la campagne (si les Francais controlent <= 22 VP à la fin).

Je compte 11 VP tenus par les Francais dans le village
18 en arrière du front dans la foret
et 12 atour de la route Inor - Malandry.

Rien n'est joué même si le Francais peut encore céder du terrain contre du temps.




Lionel

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Cela me parait même compliqué pour le camp allemand qui va devoir prendre la/les bonne(s) option(s). La zone où restent éparpillés les LVP est vaste, et en 5 tours (je préfère tabler sur 5 tours, le dr de fin commence à 3), il faut pouvoir espérer percer rapidement pour pouvoir cavaler comme un fou les tours suivants.
Le prochain Date donne -2 drm au ravitaillement CPP/CSPP. Avec les pertes subies par le français, et la victoire des allemands, chacun devrait pouvoir encaisser un max de points.

A ce stade, je pense que vous avez sacrément dû tester les CG pour en arriver à un tel équilibre à la presque fin. C'est très agréable pour le défenseur de savoir qu'il a une réelle chance de l'emporter, pas seulement en "ne perdant pas", style Berlin ou Königsberg, mais en gérant suffisamment bien ses moyens pour mettre l'adversaire en échec.
Sans compter les possibilités de contre-attaque qui permettent de satisfaire un défenseur naturellement agressif.

J'ai par contre une question : sauf si ma lecture est biaisée, je me demande comment le joueur français peut déclencher une attaque de nuit ?
D'après le tableau idoine, en cas de Dual attack, même si le français choisit Night Attack il est grugé car le Date sera un Day Attack. Il n'y que si l'allemand choisit un Idle que le français pourra mener une attaque de nuit. Mais cela reste très aléatoire car le choix de l'initiative est secret... D'autant que l'allemand a pléthore d'attack chit qu'il utilisera systématiquement sauf s'il n'a pas de chance et voit son ELR baisser trop et trop vite.
Avec aussi peu d'attack chit, c'est dommage que le français ne puisse pas d'office être l'attaquant s'il choisit de chasser du Grenadier de nuit.
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A la suite de l'attaque allemande du 20 mai, le front fait apparaitre un doigt enfoncé vers le sud dans la ligne de front française qui menace à la fois les hauteurs d'Inor et la route de Malandry. Une épine dans le pied des français, mais qui demeure extrêmement fragile car très étroite. La logique veut donc que les troupes françaises coupent cet appendice à sa base, tel un abcès que l'on inciserait et qui se viderait alors de sa substance verdâtre.
Pour cela, une section de sapeurs de la Légion appuyée par la valeur de deux sections de légionnaires se lanceront dans un assaut vigoureux, précédés par un bombardement dans les règles.
Afin de profiter de ce chit d'attaque, il sera de bon ton de soulager la pression sur Inor, et ce sont les chars qui vont le permettre. Une section de H39 montrera la voie à l'infanterie (une compagnie en renfort), tout ce petit monde couvert par une batterie de 75, celle-là même qui n'a pas eu l'occasion de tirer un seul obus lors le 20 mai.
La défense ne sera cependant pas négligée car il est clair que l'adversaire ne peut que s'attendre à une attaque sur son saillant et il faut donc envisager l'éventualité d'une contre-attaque allemande. Des tranchées seront donc creusées sur la route de Malandry à la sortie Ouest de la forêt ainsi que dans les bois des hauteurs d'Inor.
Le but est de regagner du terrain mais surtout du temps.

Côté allemand, on renforce les effectifs avec l'apport de deux nouvelles compagnies fraiches, l'une sur zone, l'autre attendue plus tard.
Selon les résultats des reconnaissances, une attaque au pied de la côte 311 le long de la route de Malandry et en direction de l'Ouest pourrait être envisagée.
Mettre la pression sur toute la ligne française, avec des objectifs limités en terme de terrain, mais pour surtout provoquer des pertes chez l'adversaire. D'ici quelques jours, les chars emporteront la décision contre un ennemi qu'il faut donc affaiblir au maximum.

German sets up first. German moves first.
Ça arrange bien les teutons, mais beaucoup moins les français :-@
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...

J'ai par contre une question : sauf si ma lecture est biaisée, je me demande comment le joueur français peut déclencher une attaque de nuit ?
D'après le tableau idoine, en cas de Dual attack, même si le français choisit Night Attack il est grugé car le Date sera un Day Attack. Il n'y que si l'allemand choisit un Idle que le français pourra mener une attaque de nuit. Mais cela reste très aléatoire car le choix de l'initiative est secret... D'autant que l'allemand a pléthore d'attack chit qu'il utilisera systématiquement sauf s'il n'a pas de chance et voit son ELR baisser trop et trop vite.
Avec aussi peu d'attack chit, c'est dommage que le français ne puisse pas d'office être l'attaquant s'il choisit de chasser du Grenadier de nuit.

Non tu as raison les CG date de nuit sont rares. Même si l'Allemand peut très bien choisir d'attaquer de nuit si il le souhaite. Cela peut être utile dans certains cas.
Les "Dawn attack" tentent aussi de modéliser les attaques commencant de nuit.

Les batailles de nuit ont été fréquentes mais rarement sur l'ensemble du front en même temps.
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OK je comprends mieux et du coup c'est parfaitement logique.
Les deux scénarios nocturnes du module sont tellement bien ficelés que cela donnait envie.
Et l'ajout des corps-francs constitue un chrome que l'on a envie de tester de nuit. Genre Capitaine Conan version 1940.
Pas grave. Je vais tester le bombardement à la place 8)
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Pas grave. Je vais tester le bombardement à la place 8)

Il va y avoir de la barbaque dans les branches des arbres.....

:)

Teste, teste!
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