Merci Camarade.
Tolstoï reste l'auteur qui, je trouve, permet le plus facilement de s'imprégner de l'âme slave et on en peut qu'éternellement en recommander la lecture-relecture.
J'eusse aimé avoir une plume qui approche de loin les copeaux d'un de ses crayons à papier taillés au-dessus d'une miteuse poubelle, mais je ne suis qu'un rédacteur de notes de synthèse pour pseudo-grands de ce monde de fous incultes. Soupir...
Et j'ai tout écrit sur fond de Choeurs de l'Armée Rouge (Соловьи, les rossignols, me fait presque chialer à chaque fois, c'est bô et tristement slave), Erika et autres chansons de marches (ou à boire) allemandes (Ein Heller und ein Batzen ayant ma préférence parce qu'elle est drôle)