Discussions et questions-réponses concernant ASL > Forum général Advanced Squad Leader
Plaisirs solitaires...
Robin:
Je me demande combien nous sommes à jouer seuls, et dans quelles conditions...
Robin:
Il m'arrive assez souvent de jouer des scénarios en solo, parce que le temps manque, même avec VASL, de les essayer avec qqn...
Jouer en FtF est de loin le plus intéressant.
Jouer via VASL est sympa, mais ce n'est quand même pas la même chose... Le support électronique ne vaut pas le carton et les bruits des dés qui roulent, et boire une bière face à un écran, c'est moins cool que de faire tchintchin avec un adversaire présent.
SASL apporte une expérience assez différente de ASL, et je ne peux pas le classer comme du ASL FtF en variante solitaire : le Fog of War est plus important, mais le comportement du système moins 'dangereux' qu'un adversaire humain...
Loris:
Juste pour étudier le déploiement et quelques stratégies...
Par exemple pour le tournoi du 24/04
greuh.
Memenne:
Salut,
Pour le moment, je n'en ai pas besoin : je joue deux à quatre fois par mois en FtF avec deux papes du jeu (Laurent Forest et Georges Tournemire) et je n'en suis encore qu'à la phase d'apprentissage des règles et des mécanismes/subtilités du jeu.
Tant que je peux garder ce rythme de jeu, c'est OK. Le jour où je n'aurai plus d'adversaire pour du FtF, je pense privilégier d'abord VASL. Et si vraiment je me retrouve seul sur une île déserte, j'opterais plutôt pour du SASL.
Mais bon, comme dit Robin, rien de tel que le bruit de verres de bière qui s'entrechoquent ;-)
A+
Memenn
Robin:
J'ai pris l'habitude du jeu en solo, parce qu'en 1986 il était quasi impossible de trouver des partenaires de jeu en Suisse...
De plus, j'ai des horaires décalés d'avec la plupart des gens 'normaux'...
Si je pouvais libérer une soirée de semaine de manière régulière, je monterais un club... 8) et je n'aurais plus le temps de jouer en solo...
SASL c'est bien, mais un scénario classique, qui reflète une vraie situation, avec la recherche historique derrière, me fait plus 'rêver' que 'j'y étais'...
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