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Debriefing Villers Bocage

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St-hilaire:

--- Citation de: Bert le 30 Novembre 2010, 11:59 ---
--- Citation de: St-hilaire le 30 Novembre 2010, 10:37 ---C'est pas ce qui est dit dans l'article de tate Roger "what do you do when you don't have a can opener ?" où il y a un tableau OBA/Mortar vs AFV...

--- Fin de citation ---

Ben si :
Si tu prends la ligne 50 mm : 2KIA et 4Shock/Immobilize

50 mm = 6FP  -> /2 = 2FP

2FP =  2KIA, 1 KIA   +   K/1, 1MC, 1MC, NMC.


--- Fin de citation ---

je tirais avec du 81

Philippe Briaux:

--- Citation de: St-hilaire le 30 Novembre 2010, 10:37 ---C'est pas ce qui est dit dans l'article de tate Roger "what do you do when you don't have a can opener ?" où il y a un tableau OBA/Mortar vs AFV...

--- Fin de citation ---

Relis l'article, il n'y a nulle part ce dont tu parles.
Le tableau auquel tu fais référence concerne l'OBA et est placé justement dans le paragraphe OBA. Et le paragraphe MTR indique que ce sont les mêmes DRM qui sont utilisés et que ça a le même type d'effet. Et c'est tout.

St-hilaire:

--- Citation de: Philippe Briaux le 30 Novembre 2010, 12:39 ---
--- Citation de: St-hilaire le 30 Novembre 2010, 10:37 ---C'est pas ce qui est dit dans l'article de tate Roger "what do you do when you don't have a can opener ?" où il y a un tableau OBA/Mortar vs AFV...

--- Fin de citation ---

Relis l'article, il n'y a nulle part ce dont tu parles.
Le tableau auquel tu fais référence concerne l'OBA et est placé justement dans le paragraphe OBA. Et le paragraphe MTR indique que ce sont les mêmes DRM qui sont utilisés et que ça a le même type d'effet. Et c'est tout.

--- Fin de citation ---

ouais... mais comme 88LL avait noté la même chose...

merci pour ces réponses.

L.

Reeman:
07h30 ce matin.
Je suis dans le train qui m’emmène au boulot. Barns à écrit un super post sur le Tiger Meet : ça m’a mis le pied à l’étrier. Je décide donc de noter quelques souvenirs en prévision de ce mail sur ce même carnet où figurent les notes de mes setups et… l’OB de la bataille de Koursk (ouais… On ne se refait pas !).

Nous arrivâmes donc avec Philippe vendredi à 18h15, tout juste précédés par Sir Lapin et Captain Cook (ouf, il y avait de la lumière !). Après avoir débarqué mon matos ASL et mes 4 sacs de bouffe (faut ce qu’il faut !) j’attaquais ma première partie de ce qui sera un vrais marathon ASL avec Philippe à 19h30.
Alors… L’un comme l’autre nous n’avions pas l’impression de jouer lent mais… Est-ce l’arrivée de nos amis les uns après les autres ? Est-ce les cacahuètes qui ont pris le pas sur les pions ? Est-ce la pause du dîner qui a duré ? bref, et je ne veux pas non plus négliger l’influence de mon whisky, mais à 01h00 du mat’, nous n’avions avancé que de 3 tours sur les 7 que comportait notre Playtest pour le FT.
Nous décidâmes d’un commun accord de laisser notre partie en place pour la reprendre si une respiration dans le WE nous en donnait l’occasion.
Moi je commençais à faire de l’apnée en commençant à calculer le nombre de table que j’allais devoir monopoliser pour pouvoir terminer mes parties !

Dernier inscrit pour ce Tiger Meet, ma chambre était donc située dans une autre Location du Walhalla’s building en compagnie de Palmereldritch. Mon malheureux compagnon de chambrée fut pris d’une dantesque quinte de toux qui nous jetâmes tôt dans la cuisine à 07h00  où nous fîmes plus amples connaissances et causâmes un peu WWII jusqu’au réveil (difficile) de nos petits camarades.

Après un petit déj’ (très) copieux et en attendant que Barns se rase (peut-être avec mon « antique couteau forgé à la main » que j’avais laissé à la cuisine) nous fîmes un tour de plus avec Philippe (le temps d’un CH de son MTR sur mon char CE) !

Barns rasé de frais, nous nous attaquons au FT75 « Unexpected fire » un excellent scénar de Jean-Luc où mes SS firent feu de tout bois face à des Anglais peu en veine et défavorisés par une erreur de règle en ma faveur (j’ai tourné la tourelle de mon Panzer pour tirer d’abord à la MG, puis ais ignoré les malus de changement de CA pour le tir suivant au canon car je le traitais, à tort, comme un deuxième tir…) J’en serai quitte en laissant à Barns ma bouteille de Jack Daniels le lendemain lors du départ…

L’après-midi j’avais pris RDV avec Lapin pour un scénar très osé (FT115 du Module Saint-Nazaire : des Allemands qui encerclent des Russes au Setup et ces derniers devant s’échapper par une seaborne evacuation dans des MGB !). C’était un challenge car nous découvrions tous les deux les règles des MGB pour la première fois ! Au dépends de Lapin, pour le coup, mis mal en point par la puissance dévastatrice de la marine russe mais, à son corps défendant, très « grand seigneur » puisqu’il a refusé de faire des prisonniers (se donnant volontairement un handicap) et a fait faire un joli « sprint and jump » sur la plage à un de ses squad … qui ne s’est jamais relevé ! Je retiens également notre fou rire quand il a sorti un Snake avec son Lt Mtr sur un de mes MGB (on se voyait déjà plongés dans les règles pendant 1h00)…

Nous terminâmes avec Philippe notre scénar de vingt-quatre heures (sous les lazzis et les quolibets moqueurs de nos petits camarades) sur une victoire de ses allemands dont une des dernières actions épiques fut la traversée du village par un Panzer qui survécu à 6 tentatives de lancer de Cocktail Molotov ainsi qu’à un tir à bout portant de mon Char Lance Flamme (DR11 !).
En deuxième partie de soirée, après un repas du tonnerre (super traiteur) et une vaisselle énergique avec chansons d’époques (et vibrant chant des partisans entonné par Philippe !), j’attaquai ma 4ème partie (en 24h !) avec les Américains contre Robin (AP32 « Second crack at Caumont » du Pack Normandy).
Entre deux coups de son canon de 88 nous devisâmes gaiement jusqu’à 02h00 du matin, ravis de faire la rencontre de quelqu’un que j’appréciais déjà beaucoup sur le Forum, et désormais en dehors...
La partie dura jusqu’au dimanche midi (entrecoupée par une plaisante virée matinale en voiture dans le bocage gelé pour aller acheter du pain) et s’acheva sur une victoire US avec une épopée autour du canon de 88 qui me laisse encore songeur : d’abord mon héros qui survit à un tir du 88 et qui, blessé, réussit à blaster le crew à coup de DC, ensuite Robin qui amène un squad et liquide mon héro en CC avant de tenter de récupérer son 88. Là il fait un 6 au dr et une certaine idée du monde s’écroule : son squad est infichu de « trouver » le 88 (qui ne passe pourtant pas inaperçu dans un verger !) !

Après un déjeuner animé où les Monty-Pythons et Kaamelott, grâce à un Jeep très en verve, furent à l’honneur, il me restait alors 2 parties à faire ce dimanche mais je ne pu en faire qu’une : celle du matin étant décalée à l’aprem, je dû annuler (à regret !) celle prévue avec Bert.
Ma dernière partie m’opposa donc à Xavier, auquel j’offris le privilège de jouer des pions noirs (SP130 « The Tiger’s whiskers ») sur un scénar en 5,5 tours sur Koursk.
Je savais à quoi m’attendre en chatouillant les moustaches du tigre, mais la belle offensive des Panzers SS s’enraya comme par miracle suite à une série de pannes providentielles (de fait, Xavier à sorti 8 x DR de 12 !!) et l’affaire se clôtura par un abandon de mon valeureux adversaire, cloué sur le fil par un sort trop contraire.

En 3 mots comme en 100 : que du bonheur !

Merci à tous et comptez sur ma présence l’année prochaine !


Franck

jeep:
Un petit CR.

M'étant inscrit à la rencontre de V-B à l'instar de mes petits camarades du FT, nous procédons dès le vendredi après midi à un regroupement stratégique à Aulnay dans le but de partir de bonne heure vers un destination exotique, en évitant les embouteillages Parisiens. Arrivé pile à l'heure à notre rendez vous de 15h, je commence par constater avec Manu le principe de la relativité Einsteinienne puisque nos deux compères, X et 88L, arrivent respectivement à 15h15 et à pas d'heure.
Etant pourvu de nombreux bagages, et démontrant pour certains une masse corporelle imposante (dans le sens de la hauteur ou de la largeur c'est selon) nous nous installons ensuite dans le véhicule à l'ergonomie la plus adaptée au transport d'un tel volume, et dons les lignes élégantes et racées et le moteur surpuissant devraient nous conduire à bon port sans coup férir : j'ai nommé la Twingo. Nous fétons cela dignement d'un pain au chocolat.
Parti avec un heure de retard, notre sémillant conducteur commence par bouffer une ligne blanche, au grand dam klaxonné des automobilistes voisins, puis essaye discrètement d'écraser un cyclomotoriste sous l'oeil réprobateur de la maréchaussée, qui nous signale sa révulsion du procédé en des termes procéduriers mais courtois du haut d'une véloce moto qui fait pin-pon. 88L réussi à ne pas perdre 100 balles dans l'affaire.
A ce stade de notre périple, nous roulons depuis environ 30 minutes, et sommes à 5 minutes de chez Manu, 88L nous ayant fait passer deux fois devant le tribunal de Bobigny, devant lequel Manu fait des grands signes à sa soeurette qui y vaque à ses occupations judiciaires. Xavier, de dépit, se tape trois tranches de jambon.

A cet instant, 88L prend une décision, nom de Dieu. "Ce serait quand même trop stupide, alors qu'on est là, de ne pas profiter des fantatsiques embouteillages parisiens qui font la réputation de la ville lumière". Et vlan, il fonce sur la porte Maillot, via le périph', à 6 heures du soir un vendredi. Les passagers ne se sentent plus de joie, à tel point que X réclame l'ouverture prématurée d'une des bouteille de pif. Le rouge de Sartène du domaine Fiumiccicoli prend un coup de tire bouchon, et on commence à s'imbiber.
Ragaillardis par le divin breuvage, X et moi-même, ignorant le druide et le barde siégeant à l'avant de la spacieuse Twingo, déplions séance tenant deux cartes ASL au format A0 et nous esbaudissons devant le tracé magnifiques de ses hexagones prometteurs. Puis, constatant que la Twingo a finalement atteint l'autoroute de l'Ouest, nous convenons avec X qu'il ne reste plus de gaffe possible à faire par les deux humanoïdes cataplasmiques hydrocéphales qui gouvernent aux destinées de notre véhicule (hors percussion frontale du rail, s'entend), et nous décidons de ronquer un coup.

Arrivé en Normandie vers 22h, nous insistons pour utiliser le GPS afin de repérer précisément le lieu de débauche de nos complices ludiques. Nous fiant plus à la technologie qu'aux spasmodiques scrofuleux qui nous servent de guide, nous mettons notre entière confiance en une connasse à la la voix langoureuse et enrégistrée qui nous enjoint de quitter l'autoroute pour nous engager dans Villers-Bocage. Cinq minutes plus tard environ, nous sommes arrivés à destination, c'est à dire en plein milieu d'un carrefour désert, qui constituerait notre lieu d'arrivée si l'on en croit la pétasse électronique satellitaire. Il s'avère que 88, ou Manu, bref, l'un des solides anacoluthes atrabilaires qui siège à l'avant, a introduit une adresse quelconque de villers-bocage dans le GPS plutôt que l'adresse de destination de la Ferme du Loterot. Profitant de la confusion, pendant laquelle X insulte pèle mèle 88, la technologie, le Pape, le parti communiste Français, les couilles d'un nombre indéfinis de personnalités connues et moins connues, Manu part pisser.

S'ensuit alors un rallye échevelé pendant lequel nous aurions pu admirer la beauté sidérante du calme verdoyant de la paisible lande Normande ou seule de loin en loin la solide mais placide silhouette d'une vache Bretonne, encore une immigrée, vient interrompre les lignes fuyant vers l'horizon de ce paysage apaisé, je parlais de quoi déjà là, ha oui c'était la nuit et on est en retard.

Bref.

Au retour, je décide prudemment de rentrer avec Patrick, qui accepte sympathiquement de me ramener. Qu'il en soit remercié.

PS : ha oui, ASL. 4 parties. Très bien. Merci à mes adversaires. Je reviendrai.
PS2 : avec ma voiture.
PS3 : Merci Bert, et félicitations

jp

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