Après midi du 4 février.
Sous un ciel gris et bas, le Lt Preskovic (
qui saura me dire la réplique mythique ?) arrive couvert de poussière et de sang dans le quartier général Russe
-"Camarade Polkovnik, les fascistes contre attaquent avec des chars et de l'artillerie, ma compagnie a subit de lourde perte, le kapitan Douzov est blessé, l'observateur avancé est mort tué par un éclat d'obus, la 2° compagnie a fuit derrière la Varosmajor utca sur la base d'assaut, actuellement sous le feu de l'artillerie".
Le polkovonik Iessaoulov reste pensif, c'est grave, les pertes sont lourdes et mon adversaire Allemand fait preuve de ténacité (et de bol aussi !) mais nous avons réussi à passer au centre la Kélgolyo utca pour prendre le grand bâtiment qui est en passe d'être nettoyé, malgré la résistance des défenseurs, et un corps à corps à mains nues (H-H sur ambush réussi par 2-527 sur 2 squads de miliciens).
Au sud l'avance se poursuit dans les ruines près de l’hôpital militaire, les forces Hongroises sont plus faibles, bon sang quel idiot et dire que je voulais attaquer avec toutes mes forces dans ce secteur, nous serions déjà sur la voie de tramway.
Il se tourne vers Preskovic :
- "retourne auprès des survivants, rassemble les, l’artillerie ennemie doit arriver à court de munitions, ( 2 chits blacks sur 8 et 4 reds encore à tirer scarce ammo), ta misssion empêcher les fascistes de nous prendre de flanc et d'encercler les troupes qui sont passées au centre. Tu as compris ?"
-"da camarade" !
Iessaoulov, retourne au dessus de la carte de son secteur, non Hill621 ne pourra, malgré sa chance insolente, nous contenir, ses pertes sont lourdes et ses réserves s'épuisent, malgré nos mauvais DR (
encore 2 DR 12 sur l' OBA de 150mm ! merci le dice boot, des conscrits qui tiennent des MC 3... sans commentaires).