Oui aux deux premières questions.
Il semble que le premières sorte de l'imagination fertile de l'interprète. Je ne le vois pas dans la V.O. On retrouve bien là la familiarité avec l'exégèse des textes Araméens, traduits en Grec, puis en Latin et enfin en Vaudois.
J'ai procédé par "équivialence dynamique", pour essayer de clarifier le caractère abscons du texte originel.
Il y avait trois questions.
Perry dit oui à "deux" et répond ensuite à la dernière (à laquelle une réponse "oui" serait absurde, puisqu'on lui propose le choix entre deux formulations).
Donc, j'ai conclu que le "Yes to both" concernait les deux premières questions.
L'équivalence dynamique essaie de rendre le sens.
La traduction littérale, elle, essaie de coller le plus aux mots de l'original, au risque de rendre une traduction peu agréable à lire.
Robin, [mode "off-topic"] qui est en train de crapahuter dans des études de mots-clés hébreux effectués par un théologien allemand (non traduit... et mon dico allemand-français montre ses limites quand il s'agit de comprendre le verbiage scientifique autour de l'étude du champ sémantique d'une expression hébraïque ou accadienne).
Ce mémoire va me laisser quelques souvenirs...
[mode "resume former discussion"].