Craig dans son livre des années 60, "ennemy at gates" qui était allé en URSS faire des interview en parle longuement , il parle même de pyramide de corps.
Mais c'est loin du front, bien en arrière que ces commandos étaient placés, bien triste ils ont dû tuer des hommes perdus , des gars qui ont dû fuir un allemand qui les poursuivait le front brisé...
En dernier ressort ces troupes de barrage recevaient les pointes allemandes en pleine face et devaient elles même plier bagage.
Ce que Craig exprime c'est que certes c'était terrible, injuste et non nécessaire mais que l'on était loin des crimes allemands, bien loin.
De plus en prenant exemple d'une division de la 62e armée aux portes de Stalingrad, nom et aussi sujet du livre, il décrit une véritable décimation dans une unité qui avait commencé à paniquer .
Là encore , il en reconnaît l'horreur mais aussi la nécessité.
Je précise que c'est quand même un auteur américain.