Eh oui, le "sous-marin" c'est ce que j'ai fait involontairement au tournoi de Lyon : perdre la première partie, gagner les suivantes ( avec beaucoup de chance !!) et réussir à battre Cyril qui avait effectué le parcours idéal.
Lionel est un excellent joueur, je le savais ayant eu le plaisir de jouer un peu avec lui.
Bert, la question n'est pas naïve, aucune susceptibilité de ma part, car le départage est souvent mal compris. L'ASL RING n'est pas un tournoi à élimination directe, le départage est donc important car la partie qui oppose le futur gagnant ne désigne pas automatiquement le second. Comme je suis à la fois joueur d'échecs et arbitre ( pas le choix si je désire jouer en Nationale 2), j'essaye de composer des appariements rigoureux suivant le système suisse. Pour faire simple, cela signifie que l'on regroupe tous les joueurs ayant le même nombre de points, classés suivant l'area ( superbe travail de Bruno sans qui tout cela ne serait pas possible) que l'on divise ensuite en deux groupes : l'un dit fort, l'autre dit faible. Par exemple, pour la dernière ronde, Mister T serait désigné comme le joueur fort et Philippe comme le joueur faible ! Tout le monde comprendra que c'est extrêmement relatif. Seuls bémols à ces appariements pour les puristes : je désigne au hasard ,pour la première ronde uniquement, le joueur du groupe fort qui jouera contre le joueurs du groupe faible. Explication : le classement area changeant peu, les mêmes joueurs se rencontraient à chaque fois lors de la première ronde. Seconde "relecture" du système suisse : pour le troisième ronde des joueurs terminent plus tôt que d'autres ce qui m'amène à effectuer des appariements "au vol" en tenant compte évidemment du nombre de points mais pas de la place du joueur dans le groupe fort ou faible.
Voilà mais je n'ai toujours pas répondu explicitement à ta question.