Dqte VIII
Pas un seul petit oiseau pour gazouiller sur le toit du Reichstag... tant pis, on se contentera des explosions d'obus et autres rafales de cal12.
Le russe commence par un bombardement de fous sur mes arrières, désorganisant une partie de mes reserves et foutant le feu sans vergogne dans la capitale du Reich. Ca va s'payer moujik !
Enfin, il va falloir attendre un peu, parce que le russkof met fin au bombardement pour m'écraser du 200 et du 82 sur la poire. Heureusement, son premier obus de repérage de 200 ne sera pas suivi par la salve meurtrière attendue (foutu red chit, hein Barns ?)
Du coup, face au renforcement du russe face a l'hôpital de la Charite que je n'ai pas pu rejeter sur la rive opposée pendant la nuit, et vu mes faibles renforts, je cede en deux tours la totalité du campus hospitalier, non sans rager, mais ce serait perdre trop facilement de précieuses troupes dans un combat bien trop inégal. Actions de retardement et prudence russe inhabituelle (faut dire la tour de Flak a calme ses ardeurs des ma première phase de défense) me porteront jusqu'à la Lehrter Strasse en 4 tours, autant de temps de gagne.
Les plus durs combats se dérouleront dans le ministère de l'intérieur : le bâtiment est pour moitié détruit, mais chaque location fait l'objet de combats furieux et d'intenses echanges de tirs. Le russe est supérieur aux CC mais l'allemand compense avec des tirs de MG fournis et bien diriges.
A la fin du tour 4, les russes semblent exsangues mais les allemands manquent de moyens, genes par ailleurs par de vicieux tirs de mortiers.
Le front evolue donc vers l'Est, mais le pont Moltke ne permet pas encore de passer suffisamment de renforts.
Le russe semble vouloir mettre le paquet au centre et prendre le Reichstag d'assaut par l'Est. Heureusement, mes achats sont principalement constitues de RG en réserve, intacts pour accueillir les russes qui eux, payent cher chaque immeuble conquis.
Le russe cherche le contact, les CC, mais l'allemand parvient la plupart du temps a éviter ces rencontres désastreuses pour lui.
On se marre bien
et les anecdotes sont trop nombreuses pour être décrites ici (meme le tir d'art qui s'égare pour finalement trouver les deux obs russes d'un coup !)