FE132 Land of Malaria and Pain
Ah oui ! Ah oui !!!
Quelle gageure cette bataille ! La tête dans le guidon, chacun a pédalé à tout va, jusqu'au moment où l'un des coureurs a demandé au juge de course où se situait l'arrivée !
Un scénario PTO en Birmanie entre les sujets de Sa Majesté Jojo 6ème du nom et les honorables fils de l'Empereur Hiro-Patroto.
Une grosse compagnie britannique avec des balaises 458 et une poignée de 648, des DC, et de très inutiles Matilda chargés uniquement d'AP (en 40mm, ça va pas déféquer loin).
En face, pas lourd, mais une grosse Hmg, des leaders fous et une nuée de petits êtres jaunes jugés sacrifiables pour mon illustre adversaire.
33 EVP, ça fait beaucoup...
Le gros de mes forces d'infanterie représente 28 VP avec leaders, il me reste donc 5 VP à trouver. Tiens ! Pourquoi pas un char ?
Mon plan va donc tourner autour de cela : amener un char vers la sortie. Le truc, c'est que le PTO, c'est pas ma tasse de thé (Earl Grey, avec un nuage de lait silvoupliai), et le passage de gros culs dans les bambous, kunais et autres jungles moites, je maitrise pô...
Mon débordement par la droite ennemie, outre qu'elle me permettait de déraciner une défense nippone que je savais être excellente car organisée par l'ami Guillaume, offrait la possibilité de sortir la quasi-totalité des EVP sont tirer un coup de feu (je m'attendais bien à un bunker en bois sur la colline densément boisée, mais rien...). Mais sans un seul de ces inutiles chars anglais, point de victoire. D'où ma question à deux tours de la fin : "les VP, c'est EVP uniquement ou CVP aussi ?". Parce qu'entre temps, j'avais réussi à laminer les affreux envahisseurs qui tentaient de me barrer le chemin (ah nous !? Une compagnie entière d'habits rouges en rangs serrés !!!) et les CVP accumulés étaient de l'ordre de... pleins.
Ce scénario n'a pas été pour me rabibocher avec le PTO : le terrain est vraiment tout pourri et il faut réapprendre à utiliser les chars. Et franchement, ces squads qui fondent mais ne breakent pas, ça me gave...
Mais bon, on va quand même s'en refaire un autre car il faut soigner le mâle par le mal