Tour 2 russeLa phase de ralliement permet de remettre un HS de sapeurs avec FT sur les rails. Le 447 mis en déroute en traversant la BerlinerStraße tire un DR2 et devient berserk : en espérant que ce soit une bonne nouvelle parce que l'unité ennemie la plus proche se trouve en face...
Côté teuton, la vermine fasciste 9-0 parvient à rallier l'intégralité des troupes paniquées en AA59 ! On entendait ses beuglements par-dessus les tirs de mitrailleuses lourdes et les explosions des grenades... Me faut sa tête.
La HMG en Y56 est réparée. Mauvaise nouvelle pour le berserk...
Par contre, en Z61 le squad 468 ne trouve pas la HMG abandonnée par ses servants. Le dr6 qui te laisse pantois...
Trois des mortiers de 82 placent leurs derniers obus fumigènes.
Celui fraichement arrivé en C66 prend la BerlinerStraße en enfilade et termine de plonger les abords de la gare sud dans le brouillard.
L'artillerie.
L'observateur de 122 (étage X65) ne parvient pas à mettre le fil rouge sur le bouton rouge et le fil vert sur le bouton noir... Pas de contact, mais un paquet de connards.
L'observateur de 152 se retient de corriger les obus de repérage : les allemands se terrent toujours en face et la géniale idée de placer des fumigènes dans ma LOS rend trop aléatoire un placement sans risquer de perdre la mission sur un tirage de jeton rouge. Soyons patients camarade.
Sur l'aile gauche, l'observateur en sueur (cx) tremble trop et bascule maladroitement l'interrupteur on/off. Perte de contact. La SR reste en place pour l'instant.
Les tirs de suppression du nid de mitrailleuses AA66 (18FP !) ne donnent rien. Il va falloir faire avancer les chars...
U58 se met en OPP pour appuyer la charge à venir des berserker. Jésus, Marie, Joseph, paix aient leurs âmes à ces pauvres fous imbibés de vodka frelatée.
A gauche, je m'aperçois que le duel entre mortier de 82 en G58 et mortier allemand de 120 en M42 n'était pas possible pour cause de pas de LOS. C'est con hein ?... Ca l'est d'autant plus que le premier venait de placer un CH...
DAVAÏ !!!!
A droite, un ISU152 démarre et quitte la protection du mur du cimetière pour trouver une LOS sur le nid de MG allemand en DD61. Malgré la distance, et face à la menace réelle que constitue ce monstre d'acier (la veille, c'est ce même char qui avait réduit le clocher de l'église à un tas de ruines, ensevelissant le club de loto-bingo du quartier sous les décombres...), un Panzergrenadier SS au visage impassible marqué par plus de 5 années de guerre pose un genou à terre, agrippe son Panzerfaust (dr 2, j'en ai un !), en retire la sécurité, bloque le tube de son Panzerfaust sous son bras droit, et sous la direction de l'Obersturmführer (9-2, leadership drm appliqué au TH) qui le commande depuis le début de Barbarossa, aligne les repères sur l'imposante silhouette du canon d'assaut russe. Dr coloré 5 (le backblast affecte les valeureux défenseurs d'un PTC réussi sans difficulté) et dr blanc... 1 ! Les ailettes du projectile stabilisent sa trajectoire. La charge creuse percute la caisse du mastodonte (TH4 +2 moving target -1 large target -2 leadership)... L'explosion résonne tout autour du parc d'Haberberg. DR2. Le char est éventré. L'équipage (avec AL 8-1) parvient à sortir de l'épave fumante, mais est cueilli par le tir conjugué des armes légères et de la HMG, le mettant en déroute. La HMG du bunker CC60 arrose à son tour le pauvre équipage : 2MC. DR 2 ! HoB ! Le crew devient fanatique et peut se vanter d'avoir une chance incroyable dans son malheur.
== Question : les crews étant des MMC avec FP, ils sont bien sujets à BH n'est-ce pas ? Par ailleurs, j'ai appliqué un -1 drm Elite, ai-je bien fait ? ==
Au centre, la progression des soldats russes se poursuit lentement et rejoint la colonne X58-61, avec une pointe en Y58. Le long de l'Unterhaberberg, les frontoviki subissent un tir nourri de la part des HMG et craquent. Ceux qui se trouvent à l'abri des immeubles en ruine gagnent des positions de tir en rampant. Les tirs et autres jets de flamme ne parviennent cependant pas à révéler ou casser les défenseurs.
Le squad berserk réussit quant à lui à traverser la BerlinerStraße mais se heurte aux murs fortifiés de la Südlicherbahnhof (strongpoint) ! Il se rue alors vers un 467 planqué dans des débris de wagons mais ne peut les atteindre, faute de MF. Il résiste cependant aux tirs de défense 8FP -2 sur un 2MC superbement réussi.
Un peu plus au nord, les chars russes passent prudemment le mur Ouest de la zone ferroviaire. Un PaK 40 prend alors le T34 de tête à partie : l'obus ricoche sur la tourelle sans la percer (Shock). L'ISU 152 qui le suit tente un impossible tir de zone mais acquiert l'hexagone.
Dans le même secteur, l'observateur d'artillerie allemand (105mm) perd de vue la SR. La zone urbaine très dense rend difficile le réglage des tirs dans les deux camps.
Sur l'aile gauche, les fantassins se préparent à foncer vers la zone humide (Alte Strumpfbandweise).
Plusieurs chars vont rugir leurs moteurs et se rapprochent de la zone de départ,
Avec un peu de chance, la batterie de 76mm parviendra d'ici là à protéger la zone d'approche avec un mur de fumigènes.
La phase de progression permet de s'emparer de ruines supplémentaires et de prendre en tenaille un groupe 468 en Z61.
La progression est lente parmi les décombres de la ville. Les allemands éprouvent toutefois des difficultés face à nos assauts prudents mais massifs. D'ici 2-3 tours, nous avons bon espoir d'emporter tout le quartier situé entre l'Unterhaberberg et l'église d'Haberberg.
Situation à la fin du tour 2 russe