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Königsberg - la revanche de l'ours

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HORREUR !  :crie:
ENFER ET DAMNATION ! ]:-)
Je viens de m'apercevoir d'une monumentale et stupide erreur de votre serviteur ! Le vent !!!! Il y a du vent ! Du Heavy fuc*@#g Wind ! Ce qui veut dire : pas de fumée mon lapin !  :pleure:

Aussi, d'un commun accord avec mon adversaire :-$ et malgré l'opposition de Valia (ça l'arrange bien cette garce de me coller ça sous le nez), j'ai décidé de remonter dans le temps et de modifier le dr de vent en no wind. Je sais, c'est un peu me prendre pour un Dieu, mais quelque part, ne sommes-nous pas tous à l'image des Dieux ?
Heiður , Hugrekki , Aga og Hollusta
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Hors ligne Hardrada

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  • Molon Labe
Ah mince, il faut certainement tout recommencer du coup...
Le courage du soldat dépend de la prudence du général.


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Ah mince, il faut certainement tout recommencer du coup...
:-D :-D :-D :-D :-D :-D :-D :-D :-D
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Hors ligne Stef

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Hräsvelg heter han, vid himlens ände
sitter jätten i örnhamn jämt;
ifrån hans vingar sägs vinden komma
farande fram över folk.

Vaftrudnesmal, vers 37

https://en.wikipedia.org/wiki/Hr%C3%A6svelgr

https://fr.wikipedia.org/wiki/Vaf%C3%BEr%C3%BA%C3%B0nism%C3%A1l


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Hräsvelg heter han, vid himlens ände
sitter jätten i örnhamn jämt;
ifrån hans vingar sägs vinden komma
farande fram över folk.

Vaftrudnesmal, vers 37
;-)
Je ne connaissais le Gylfaginning qu'en Noroit (et francais, oeuf corse), tu m'incites à le découvrir en Suédois !
Tack så mycket
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Tour 4 russe

делить шкуру неубитого медведя. Ne pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué

En tout cas, nous ne commettrons pas l'erreur cette fois-ci. La bête n'est pas morte, alors il ne faut pas se précipiter tête baissée dans un possible piège.
L'OBA de 122 bascule sur la rive nord. Plus précisément, il nous faut empêcher les nazis de passer le Fahrenbrücke pour renforcer la rive Sud. Nos mitrailleuses lourdes, appuyées par un mortier de 82, le gardent sous leur feu et l'artillerie sera la bienvenue. Les autres canons et mortiers arrosent les bâtiments de la Holländerbaumstraße qui donnent sur la Pregel.

Sur la rive Nord, nos Frontoviki investissent les bureaux des services d'approvisionnement royaux. Nos forces se regroupent prudemment avant de lancer l'assaut sur la prochaine ligne de défense allemande hâtivement aménagée de l'autre côté de la Lizentgrabestraße. Deux lance-flammes épauleront l'attaque. Au préalable, il faudrait que le canon d'infanterie embusqué derrière une barricade sur la rive Sud soit neutralisé. Si possible.

La progression dans la zone ferroviaire est plus complexe. La ligne de front n'est pas claire et les groupes s'infiltrent à proximité des défenseurs avec la crainte constante d'être contre-attaqués. Mais si nous parvenons à nous emparer des hangars, les locaux techniques se retrouveront encerclés et les allemands penseront peut-être à l'abandonner.
La poste semble à portée de mains, seulement défendue par quelques Volkssturm, mais deux véhicules blindés veillent aux abords et prennent une escouade de Faustniki sous leur feu, tuant le chef de section et la réduisant de moitié.
Les SS qui viennent de quitter la gare de l'Est restent une menace non négligeable compte tenu de l'étirement de nos lignes. Nos soldats gardent leurs distances avec ces fanatiques dont la puissance de feu peut là encore retourner la situation.

Sur la Borchertstraße, nos soldats se rapprochent des positions tenues par les Volkssturm en espérant les prendre dans leur nasse dès la levée du tir d'artillerie. Ces pauvres fous ne se relèveront pas assez vite de ce tir fratricide. Seuls quelques Pionieren nous empêchent de passer, mais aucun de nos Frontoviki ne semble vouloir se frotter à eux.

L'hôpital peine à tomber entre nos mains ! L'aile gauche n'a vu qu'une courte incursion de notre part alors que la droite est bloquée par une poignée de Volkssturm retranchés dans des locaux fortifiés (un HS de 126 !) qui résiste même à un tir de lance-flammes. Un sous-officier rate sa chance de poser une DC sur le mur de leur position et se fait stupidement cloué contre le mur. Une escouade est exterminée en pleine rue en voulant prendre d'assaut une position ennemie (ils sont stupides ces berserkers...)

L'école primaire est elle aussi timidement investie. Les allemands se sont retranchés dans le fond des bâtiments, bien regroupés et loin de la menace des canons de nos T34. Impossible de passer par les étages qui ont été réduits en cendres par notre artillerie. Notre observateur se déplace d'ailleurs plus proche du front afin de faire bénéficier nos troupes d'assaut de la couverture de la batterie de 152 : il essuie quelques tirs de mitrailleuses sans conséquence.

Sur la rive Est de la Alte Pregel, notre compagnie de Faustniki a débuté la conquête de ce quartier de la ville maudite. Un véhicule blindé est furtivement aperçu dans l'alignement de l'artère qui remonte vers le Nord, vers le Holz Brücke.

Situation à la fin du tour russe
« Modifié: 12 Octobre 2021, 13:49 par Hill621 »
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Tour 4 allemand

En prenant de la hauteur, la situation au Sud de la Neuer Pregel n'est pas si catastrophique. Tous les bâtiments de la Jahrmarktsplatz (hôpital St-Georges, école primaire, magasin de sel) sont encore solidement tenus par nos soldats. Et d'ailleurs, ils doivent continuer d'être défendus jusqu'au dernier homme.
La poste devient, avec l'immeuble Ashhof à la sortie du pont routier (AA42), le point d'appui central de la défense au Sud.

Au Nord de la Neuer Pregel, le dilemme repose désormais sur le passage du pont routier. Faut-il prendre le risque de perdre de précieux soldats et sous-officiers pour renforcer la défense au Sud, ou bien tenir face à la horde bolchevik avec tous les moyens dont nous disposons sur cette rive ?
Le principal étant de gagner du temps, ce que permet en particulier la magnifique résistance des jeunes loups de la HitlerJugend dans le bâtiment technique  dévasté sur la Friedrichsburg Straße, la décision est prise d'annuler l'ordre de repli précédent et de faire face avec tous les hommes disponibles à l'avancée des russes sur la rive Nord. OK, ça fait un peu gestion de Covid à la française, genre un jour on fait comme ci et le lendemain l'inverse, aber ein Befehl ist ein Befehl !

La défense se réorganise donc au Nord de la Neuer Pregel, à l'abri des mitrailleuses lourdes et armes de soutien ennemis. Les accès à la Lizentgrabenstraße et à la gare royale de Pillauer sont pris sous nos tirs croisés. "Sie werden nicht bestehen !". Les deux entrées du pont routier sont également pris sous le feu d'une MG et la sortie Nord grouille de Volkssturm bien déterminés à défendre leur ville.
L'artillerie tente péniblement de régler son tir à venir sur le pont. L'observateur doit être bigleux car à cette distance il semble particulièrement mauvais.

Question : une SR qui tombe dans l'eau crée t-elle une blast height ?

Les gamins en uniforme brun résistent comme de beaux diables dans le bâtiment technique. Ils essuient pourtant un feu d'enfer mais on acquit en quelques jours une telle expérience qu'ils laissent passer l'orage en riant (tir à 36FP, DR11, PTC...).
Dans les hangars en ruines qui le jouxtent, deux escouades de Grenadieren et de jeunesses hitlériennes sont lancées à l'assaut du groupe de pointe russe : quitte ou double. Si ces sibériens sont arrêtés, leur avance pourrait connaitre une fin prématurée. Pas d'embuscade dans les décombres où les hommes peuvent se regarder dans le blanc de l'oeil. Un combat féroce s'engage, le rapport de forces étant favorable aux allemands (2/1).
(Là j'hésite longtemps... CC ou HtH ? Si les allemands perdent sur un DR5, ils auront l'air bien penaud sachant qu'il n'y a plus personne entre les russes et le pont mis à part un cadre du NSDAP local et que le bâtiment technique serait alors virtuellement encerclé. S'ils l'emportent, pour sûr c'est la fête du slip, les russes auront du mal à rassembler assez de troupes pour poursuivre la pression. J'hésite. Par dépit ou par lâcheté, je préfère interroger mon épouse qui, en bonne mère soucieuse de la vie de ses enfants, préconise un CC classique, avec lancers de grenades plutôt que tartes dans la gueule à coups de pelles de tranchée. Merci Chérie :kiss:).

DR allemand 5;6. Teufel ! On était pas loin du boxcars !!! :-$
DR russe 1;1...

(Je pars m'enfermer dans les toilettes, mords le ceinturon de mon pantalon descendu sur les genoux (oui, j'en ai profité pour satisfaire un besoin naturel), pleure, pleure, pleure....)
MAIS POURQUOI !!!!!!!!!! Warum ??? Почему ??? :pleure:
Bon ben là ça ressemble au radeau de la Méduse, avec moins d'eau et aussi peu de survivants.

De son côté, la poste est devenue une véritable forteresse avec l'arrivée de tous les soldats en retraite ou redéployés vers ce secteur. Les Waffen SS, héros de la gare de l'Est, se glissent dans les tranchées qui mènent à l'immeuble. Là encore, les ordres sont formels : "Keinen Schritt zurück !"

Repli également sur la Vorst Hospital Straße. Une trentaine de soldats du Volkssturm restent cependant à la traine, démoralisés, obligeant un sous-officier des Pionieren et une vingtaine d'hommes à demeurer encore un peu en arrière.

Sur la Jahrmarktsplatz, nos hommes attendent l'orage, tirant à vue sur tout ce qui porte un uniforme soviétique. La poignée de vieillards recrutés la veille à l'hospice St-Georges résistent encore et toujours aux tirs à bout portant des russes (24FP, PTC...).

Situation (de plus en plus pourrie) à la fin du tour allemand
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Tour 5 russe

Par tous les Saints de la cathédrale de l'Assomption, nos fiers soldats sont bénis entre tous ! A dix contre un (coefficient de propagande en vigueur à cette date), ils sont parvenus à repousser les fascistes dans les ruines de leur propre ville ! Chacun sent l'âme du grand Alexandre Nevski faire bouillir son sang d'un élan patriotique démesuré ! Hurré Stalin ! Pobieda ! Na Berlin !

La batterie de 122 redonne de la voix. Sa cible : le pont routier. Fidèle à leur habitude, les Volkssturm craquent au moindre pet de lapin (bon d'accord, c'est un gros pet de lapin). Les blessés entassés dans les caves n'en mènent pas large non plus. Le 88 sur le pont, tout juste récupéré, est à nouveau abandonné, ses servants éliminés par les tirs d'artillerie, de mortier et de mitrailleuses lourdes. En tout cas, la traversée de la Neuer Pregel par les nazis est virtuellement impossible désormais, le tablier étant constamment grêlé par les impacts de métal.

Parallèlement, nos soldats avancent toujours plus vers l'Est et atteignent la Lizentgrabestraße. Pour y être copieusement arrosés par un les armes de bord d'un SPW et une MG42. Forte présence ennemie. Il semblerait que nous ayons atteint leur ligne de défense. Les équipes lance-flammes sont prudemment acheminés sur le front, sous le couvert des décombres environnants. A noter que leur canon de 75 connait des difficultés techniques ! Voilà qui nous arrange bien.

Le bâtiment technique est virtuellement encerclé et deux escouades sont parvenus à traverser les barbelés et les mines et repousser les gosses fanatiques. Nos hommes de tête ont presque atteint la Friedrichburg Straße, faisant détaler un officier nazi, et s'apprêtent à couper la retraite des nazis retranchés dans l'immeuble en ruine. Seul hic, la présence de deux véhicules blindés ennemis : une équipe anti-chars (ATR) et un Panzerschrek capturés sont acheminés en hâte vers les hangars détruits. Notre char lance-flammes pénètre dans le hall de la gare de l'Est encore intact et s'y positionne pour bloquer toute velléité de contre-attaque. Les deux bâtiments de la gare sont également investis par nos Frontoviki.

La progression est plus lente vers la Vorst Hospitalstraße, d'une part du fait des décombres qui entravent notre avance, et d'autre part à cause de la résistance inattendue des allemands. Un mortier et un chasseur de chars nous prennent à partie avec succès et les Pionieren semblent avoir des regrets à décrocher. D'ailleurs, un de leurs sous-officiers réussit à haranguer la trentaine de Volkssturm en déroute réfugiés au rez-de-chaussée d'un immeuble : ses beuglements s'entendent à travers les rues pleines de gravats du quartier.

L'hôpital tarde à tomber. Les Volkssturm sont incroyablement pugnaces. Par petits groupes, ils s'opposent avec détermination à nos soldats, cloitrés derrière les barricades improvisées installées dans les couloirs, les fenêtres et les portes dérobées. Les chambres se conquièrent une à une de haute lutte.

L'aile gauche de l'école fait là encore l'objet de combats farouches. Le Ефрейтор Mikhail Vladimirovitch TONEV s'élance une charge explosive en bandoulière, slalome dans les gravats, échappe aux tirs des défenseurs certainement surpris par l'audace de ce héros. Mikhail place son paquet mortel contre le mur d'une classe occupée par une escouade de Grenadieren ennemis : secoués par la puissance de la déflagration, les allemands s'enfuient en hurlant sous les quolibets de Mikhail.
Dans l'aile droite, nos hommes progressent en rampant mais investissent d'autres salles de classe, repoussant les défenseurs dans leurs derniers retranchements.

Situation à la fin du tour russe
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Ici bas, on ne pardonne ni l'erreur ni la lâcheté. C'est ce qu'apprennent à leur détriment les jeunes soldats de la HitlerJugend qui ont abandonnés leur poste et ne veulent pas y retourner, et le professeur possède un Luger.
Une phase de ralliement en demi-teinte, pour ne pas dire déplorable, quand personne ne rentre dans le rang et que seul le matériel accepte de donner un coup de main (réparation du canon de 75 près de l'immeuble technique de la Reichsbahn).

Maintenant repositionné, notre observateur d'artillerie peut déployer son talent en guidant les tirs de la batterie de 105. Objectif : empêcher les bolcheviks d'avancer plus avant vers le pont routier en bombardant les hangars ferroviaires détruits.
L'artillerie ennemie rivalise quant à elle de nullité et d'inefficacité (sur les 3 hexagones occupés par les allemands et visés par le FFE2, 2 DR12 et 1 DR11. Soupir...)

Au nord, la ligne tient et tiendra. Nos hommes opposent un tir efficace à tout soviétique qui lève la tête dans les bâtiment en ruines de l'autre côté de la Lizentgrabestraße. Le SPW fait de même mais sans forcer la cadence : le risque de tomber à court de munitions (B10) pousse l'équipage à l'économie, mais la précision des tirs le compense.
Le commandant de compagnie dirige quant à lui les tirs avec un calme et un professionnalisme remarquable : les russes sur la rive Sud en font les frais et l'occasion est propice à une contre-attaque locale limitée. Une vingtaine de Grenadieren quittent en courant le bâtiment de la poste pour forcer les russes à se rendre. Un "courageux" cadre du NSDAP local complète l'encerclement en glapissant, MP40 à la taille. Les russes sont pris dans la nasse et ne parviennent pas à s'enfuir à temps. Dommage, Eliane.

Le bâtiment technique laisse lui aussi échapper sa dose de tirs d'armes de soutien et du canon de 75. Les russes sont tenus sérieusement à l'écart. Espérons que la poignée de jeunes fauves de la HitlerJugend puissent tenir le choc. Pour l'instant, ils se contentent d'échapper aux tirs ennemis en plongeant derrière la moindre aspérité.
Notre SPW est en sale posture : ce qui ressemble à un Panzerschrek, certainement capturé par l'ennemi lors de son avance, a été aperçu dans les ruines toute proche des hangars ferroviaires : il ordonne au chargeur et au pointeur de traiter la cible mais une mauvaise manipulation casse le canon. La mitrailleuse de bord est impuissante à faire baisser la tête aux russes. Une roquette surgit des ruines en retour en provenance des russes ! Le tir bien ajusté passe au-dessus du mur derrière lequel se trouve notre véhicule semi-blindé et fuse à moins d'un mètre du Schützenpanzerwagen ! Pour l'instant l'équipage en est quitte pour une belle frayeur mais les russes semblent avoir trouvé un manuel de tir au Panzerschrek pour les nuls !

La poste est dans le collimateur d'un char lance-flammes. Il va falloir s'en débarrasser...
Une attaque est rapidement coordonnée avec le PanzerIV qui appuie notre infanterie dans le secteur : le moteur vrombit, les chenilles grincent. Le char pivote sur sa gauche et tel un prédateur longe le mur de la poste pour capter une étroite ligne de tir sur son adversaire (VBM avec 2MP dépensés dans la LOS de ce b@*%rd). Simultanément, une escouade de la Waffen SS rampe hors de sa tranchée et saute dans des trous d'obus, s'attendant à recevoir un feu d'enfer de la part du T34. A leur grande surprise, ces téméraires gaillards ne voient aucune flamme surgir du hall de la gare : l'arme semble avoir déjà craché sa dernière boule de feu (DR12 sur le tir de FT !). Un sous-officier SS les rejoint pour diriger le tir vengeur du Panzerschrek : à peine commence t-il à donner ses ordres qu'un SS lituanien (ne me demandez pas pourquoi lituanien, je n'ai absolument rien contre les lituaniens) marmonne un juron " Stückscheiße ! Ich hab' die Munition vergessen...*" (*que l'on peut traduire par : "Diantre ! J'ai omis de me munir de la boite de suppositoires !". TH DR12... (2 d'affilée, ça sent le snake pour le Panzer diriez-vous, petits malins ?). Le Panzer rate lui aussi son tour (ben non, pas snake).

Les Pionieren restent au sud de la Vorst Hospitalstraße. Pour l'instant les russes sont contenus et il reste des soldats à rallier. Et chacun le sait, les Pionieren sont comme les Marines, ils ne laissent personne derrière eux. C'est bô.

L'hôpital Saint-Georges est par contre soumis à une très forte pression. La présence d'un lance-flammes incite à conserver ses distances et oblige à de légers reculs. Les soldats ennemis sont aussi nombreux que nos défenseurs mais la moitié des nôtres ne sont qu'un ramassis de civils mal armés, dont certains se protègent des tirs adverses en se jetant sur le sol crasseux. De son côté, le quadruple de 20mm crible la façade Est de l'hôpital de multiples impacts sans inquiéter les russes.

L'école est tout autant sous tension. Le commandant du secteur rameute autant de défenseurs qu'il le peut mais les russes affluent en nombre et sont appuyés par plusieurs T34 : il ordonne à un groupe de blessés des combats précédents de tirer sur l'une de ces machines postée à moins de 80 mètres de là mais les hommes fatigués ne trouvent pas de position adéquate pour tirer un Panzerfaust. La mitrailleuse lourde dont il dirige le tir chauffe et casse face à la horde russe. Le char riposte mais ne trouve pas de cible. Les fusiliers russes ne font pas de cadeau : à cette distance, les PPSh sont redoutables et les défenseurs lâchent l'affaire en masse, officier en tête.
Une escouade de SS arrivés depuis quelques minutes parvient à contenir en partie l'ennemi.
L'immeuble des impôts (MM52), défendu par une poignée de Volkssturm, est pour moitié pris par les bolcheviks.

Le statu quo qui règne aux abords du magasin de sel est brisé par une attaque furtive des SS qui le défendent. La proximité d'un T34 qui menace de déboucher sur la Jahrmarktsplatz et les hésitations des russes l'ont poussé à lancer cette périlleuse opération. Les hommes en treillis Flecktarn rampent dans les ruines et s'approchent du char. La tourelle du monstre pivote lentement et une langue de flamme sort de la bouche de son canon tandis que la mitrailleuse co-axiale vomit des balles par dizaines. La section de fusiliers russes tirent au jugé dans les ruines, surpris de voir apparaitre ces diables noirs. Le T34 enchaine les tirs au risque de casser son canon. Rien n'y fait. Sous la conduite de l'officier, un homme agrippe un Panzerfaust et vise le char en prenant le risque de griller ses compagnons d'armes avec les gaz brûlants qui s'échappent du tuyau : la charge creuse perfore le flanc du blindé qui explose et prend feu. Les SS se jettent au sol et l'officier voit sa casquette et ses cheveux prendre feu, provoquant son départ précipité.

Sur la rive Est de la Alter Pregel, les défenseurs se replient légèrement vers la synagogue (ben voui, le bâtiment YY44 n'est pas une église mais originellement un lieu de culte juif, mais à ASL, un clocher reste un clocher), ne voulant pas se faire contourner par les russes que l'on entend crier et galoper entre les immeubles dévastés.

Situation (bien merdique) à la fin du tour allemand
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Tour 6 russe

De fortes rafales soufflent dans les rues dévastées de Königsberg. Les dernières volutes de fumigènes se déchirent et s'envolent en spirale pour se confondre dans le ciel gris.
Bonne phase de ralliement. Un HoB en prime, voilà qui donne du baume au coeur aux Frontoviki.

Le contact est maintenu avec la batterie d'artillerie et les servants continuent d'approvisionner les tubes en obus de 122. Les explosions ne causent pas de dégâts supplémentaires mais la zone demeure dangereuse pour les allemands.
L'observateur de 152 rétabli la ligne et redemande un soutien dans le secteur de l'hôpital Saint-Georges. L'objectif est avant tout de forcer les allemands à reculer en prenant le risque d'un bombardement en considération.

Notre progression au Nord a atteint sa limite : les allemands ont considérablement renforcé leur défense et semblent ne plus vouloir reculer d'un pas. Notre présence en force sur la rive Nord de la Neuer Pregel étant déterminante, inutile de subir des pertes futiles. Ordre est donc donné de se placer en défensive et de tenir la ligne, tout en établissant un nid de mitrailleuses aptes à prendre sous son feu le bâtiment technique ferroviaire. Les canons et mortiers positionnés sur la rive Sud assurent le soutien de l'infanterie.
Dépourvu d'objectif à traiter, Pavel en profite pour dévier ses jumelles de quelques centimètres sur sa droite afin d'observer en toute quiétude le postérieur de Valia généreusement exposé au-dessus du parapet de sa tranchée. A la vue de son treillis à la limite de la rupture du fait des formes pour le moins arrondie de sa dulcinée en devenir, Pavel, en bon artilleur qu'il est, se laisse emporter par des pensées lubriques de culasse bien graissée...

Le fameux bâtiment technique ferroviaire, qui résiste toujours à nos assauts, est continuellement pris sous le feu de nos soldats. Les fanatiques de la HitlerJugend nous tiennent courageusement tête mais nos vétérans parviennent à avancer, mètre par mètre. Les échanges de tirs sont intenses mais c'est au corps-à-corps que cela se poursuit : nos deux groupes de tête se jettent à la gorge d'une dizaine de gamins. Le dernier gosse, mal attifé dans un uniforme trop large, voit sa gorge traversée par la baïonnette du camarade soldat Boris, ses grands yeux bleus se ternissant en quelques secondes, à mesure qu'il étouffe dans son propre sang. Aveuglé par l'adrénaline, Boris poursuit son chemin sans un regard, conscient d'avoir peut-être échappé à la faucheuse. Encore un effort et la position tombe.

Plus à l'Est, dans les hangars détruits, la menace d'un bombardement d'artillerie allemand fait bifurquer nos troupes vers le bâtiment technique plutôt que de poursuivre vers le pont : s'ils parviennent à coller aux défenseurs, le tir sera plus hasardeux pour l'ennemi. D'ailleurs, les obus de repérage tombent entre les deux lignes. Un peu de temps de gagné pour nous.
L'escouade qui s'est emparée d'un Panzerschrek tire sa dernière roquette sans toucher sa cible. Le SPW ne parvient pas à déloger nos hommes.

Gare de l'Est, le T34 rate à nouveau son adversaire ! Le Panzer tire dans le décor également. Les SS restent au fond de leurs trous d'obus sans saisir l'opportunité de tirer un Panzerfaust. Le groupe adjacent repousse un de nos squads qui tentaient de s'approcher furtivement.
Une équipe ATR se dévoile à proximité du Panzer mais rate son tir pour immobiliser le blindé et ricoche sur la tourelle.

Le long de la Knocherstraße, un duel inégal s'engage entre un mortier de 82 et un Jagdpanzer immobilisé plus au nord : malgré une cadence de tir infernale et une redoutable précision, nos hommes ne parviennent pas à endommager le chasseur de chars. Une section entière de Volkssturm, ralliée par un sous-officier des Pionieren découvre notre approche vers leur position : un groupe déroute (avec casualty MC au passage...), le chef se jette à terre et fort heureusement, notre équipe lance-flammes reste opérationnelle et grille les vieillards en uniformes dépareillés qui fuient en hurlant et en jetant leurs dentiers.

Nos fusiliers et sapeurs poursuivent leur âpre combat pour la conquête de l'hôpital Saint-Georges. Les adversaires sont heureusement de qualité médiocre et les tirs préparatoires permettent de mettre leur première ligne en déroute, permettant de s'emparer d'un couloir et de quelques chambres supplémentaires.

L'immeuble des impôts et l'école primaire adjacente continuent de faire l'objet de difficiles combats. Les allemands n'ayant plus de lignes de repli de ce côté-ci de la Kaiserstraße, il leur faut tenir ou mourir. Jeu du chat et de la souris : à effectif quasiment égal, la moindre erreur sera sanctionné. C'est un de nos groupes de Frontoviki qui craque en premier. Mauvaise nouvelle... Heureusement, le chef de compagnie et Mikhail, le héros de service, rétablissent l'équilibre cosmique et mettent des Volkssturm en déroute. Un groupe d'une demi-douzaine de fusiliers se lancent à l'attaque d'une escouade de Volkssturm : surpris dans un premier temps, les défenseurs parviennent à échapper aux tirs et grenades et écrasent les attaquants.

Le magasin de sel retentit de nombreux tirs d'armes légères. Les SS baissent la tête mais ne désarment pas. Une escouade est envoyé dans un audacieux mouvement de contournement par la rive de la Pregel (hyper risqué, ce sont des conscrits en plus, en open, mais s'ils déroutent se sera vers le Nord, et cela peut éventuellement m'arranger) : les SS tentent de les cueillir au vol mais ne parviennent qu'à les foutre en rogne (2MC, DR2, HoB transformé en berserk). Les zombies leur foncent dessus, échappent à nouveau aux tirs et entrent en corps-à-corps ! Sous l'impulsion de leur Ефрейтор, toute la section se rue alors comme un seul homme dans le bâtiment ! Le combat est acharné et nos hommes subissent de lourdes pertes (1 squad et le 7-0) mais aucun des nazis ne sort vivant de la lutte sauvage.
Une autre escouade se lancent dans la Korinthendamm par la gauche, essuient des tirs foireux d'une HMG et pénètre dans l'immeuble fortifié de l'autre côté de la chaussée (RR54) ! Quel audace ! Un T34-85 remonte la Korinthendamm pour appuyer cette courageuse manoeuvre qui bouscule les restes de la défense allemande, ouvrant la voie vers l'hospice (immeuble SS51) déserté par l'ennemi.

A l'Est de l'Alter Pregel, la compagnie de Faustniki continue son avance et se trouve désormais à 100m environ de l'ennemi. S'il ne fuit pas, nos hommes vont pouvoir gratifier le véhicule semi-blindé d'une ou deux roquettes de Panzerfaust !

Situation à la fin du (glorieux) tour russe
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Tour 6 allemand

 8:'This is the end, My only friend, the end, Of our elaborate plans, the end...

Allez, encore une coupe de champagne et l'ensemble de l'état-major de la place et le Gauleiter Koch iront se tirer une balle dans la tête. Ah non, pas Koch, il faut qu'il amène sa Mercedes à la révision à Berlin...

La situation empire de minute en minute. Ce qui semblait stabilisé ne l'est plus et là où les combats saignaient nos troupes à blanc, il n'y a plus rien à saigner... Möge Gott uns gnädig sein.

Un malheur n'arrivant jamais seul (encore que là, on est à l'heure de pointe du débarquement des emmerdes), notre artillerie trouve intelligent de commettre une petite erreur de correction et de tomber partiellement sur nos lignes. En l'occurence, c'est notre véhicule semi-blindé au sud du pont routier qui se retrouve sous le feu de nos propres obus. Il échappe à la punition suprême en reculant mais la précision des tirs n'est pas fameuse et la plupart des russes s'en tirent à très bon compte également.

Le canon de 75 sent la menace de la présence de MG au nord de la Neuer Pregel : les servants enchainent les tirs mais les obus ne neutralisent qu'une partie des fusiliers ennemis.
Les combats dans le bâtiment technique grandit encore en intensité. Illustration.
Les deux escouades russes qui ont investi 40% des ruines sont pris sous un feu très nourri : 26FP en provenance du nid de mitrailleuses (T41) qui casse une escouade mais HoB le second, avec création d'un héros et BH. Deuxième effet kiss cool, FG d'un 447 et d'une pile HJ 437 avec LMG russe + HS blessés 247 : 2MC, le squad russe broken HoB devient berserk, le héros est ok et le second squad casse et ELR ! Faudrait savoir ce que vous voulez les gars !!! La menace n'étant pas éliminée, le Feldwebel commandant la place forte se lance avec 10 de ses hommes en corps-à-corps, imités par un cadre du Parti et une autre escouade de Grenadieren : les russes s'attendaient à cet assaut et avaient déjà dégoupillé leurs grenades... A peine les assaillants surgissent-ils dans les ruines qu'ils reçoivent une pluie d'oeufs en acier dont les éclats déchiquètent la chair des hommes en Feldgrau (DR allemand 11... DR russe 5 avec en prime le drm du héros). La défense vient de perdre la moitié de ses effectifs et sous-officiers.

Le T34 lance-flammes est l'objet de toutes les attentions des défenseurs. Sortant à peine la tête des trous d'obus, les SS tentent de le détruire au Panzerfaust : une roquette quitte la position mais s'écrase contre le mur du hall de gare qui assure une excellente protection au char russe. Le Panzer poursuit lui aussi son harcèlement : un obus AP fend l'air, percute la caisse du T34 (DR TH 3), traverse le blindage et explose sous le poste du tireur, tuant l'ensemble de l'équipage net et mettant le blindé hors de combat (DR TK 2) ! Victoire !

Les derniers soldats traversent en hâte la Vorstädt. Hospitalerstraße, quittant définitivement les positions si durement défendues depuis le matin.

Toutes les positions jusque là occupées dans les deux ailes de l'hôpital Saint-George, l'hôtel des impôts, l'école primaire et le magasin de sel sont abandonnées en hâte sous les tirs nourris des russes : à peine une centaine d'hommes affolés traversent en courant la Kaiserstraße sous la protection perfectible du quadruple de 20mm. Blessés et hommes démoralisés tardent à évacuer les lieux et se retrouver coincés.
L'artillerie russe ne semble même pas pouvoir suivre le mouvement de retraite tant il est précipité.
Des ruines fumantes du magasin de sel, seule émerge la silhouette massive de l'Untersturmführer Werner Ruckhardt. Les mâchoires serrées, il repasse dans sa tête les dernières minutes passées : sa fuite sous les tirs ennemis, la ruée des bolcheviks sur ses hommes restés derrière, cloués au sol, le vacarme des explosions des grenades, le crépitement des armes légères, les cris de rage et de douleur des soldats luttant pour leur survie. Et s'il avait été parmi ses hommes. Et s'il avait organisé la défense de ceux qui le suivent aveuglément depuis tant d'années. Et si ?... (ben oui, car pour info, le HtH CC avait le rapport de forces suivant : 5FP pour les allemands et 13FP pour les russes. EZ pour les russes qui roulent 7 à 2/1, alors que les SS restent modestes en se jetant sur le leader 7-0 et un squad 447 à 1/1. En présence du leader 9-2, j'aurais tenté le tout pour le tout à 1/4. Le DR allemand ? 6. Sans commentaire hein ? Il a raison d'avoir des remords le père Werner, n'est-ce pas ?)

Rive Est de l'Alter Pregel. Le SPW remet son moteur en marche. En arrière toute ! Pas moins de 3 roquettes de Panzerfaust 60. Les moujiks ont beau s'être emparé de ce vieux stock, ils ont oublié de s'entrainer avec. Les charges creuses se plantent lamentablement dans les immeubles environnants, laissant notre véhicule se replier sans être inquiété. L'équipe MG en profite pour se rendre à toutes jambes vers la synagogue.

Dr de fin possible : 3. Fallait pas trop rêver.
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Tour 7 russe

Comme on dit dans la cavalerie, "ça sent bon le foin !", on va bientôt pouvoir rentrer à la maison.
La défense allemande est en totale déliquescence sur notre droite. Les fascistes fuient en abandonnant les blessés et les faibles. De ce que nous pouvons voir, il n'y a guère plus qu'un quadruple de 20mm qui donne de la voix sur la Kaiserstraße.
Ne pas relâcher la pression.
Dans un premier temps, maintenir le contact avec l'artillerie.
La batterie de 122 suit la consigne et poursuit son travail de suppression sur le pont routier. Certains soldats allemands, qui subissent ce bombardement depuis de longues minutes cloitrés dans un bâtiment au bord de la Pregel, craquent littéralement et fuient définitivement le champ de bataille (foutus casualty reduction).
Les canons de 152 sont muets quant à eux, l'équipe radio sur le terrain se trouvant désormais trop loin et hors de vue de la ligne de front.

Entre course poursuite et repli tactique, nos hommes assurent la prise ou la défense du terrain.
La nouvelle ligne de front s'étire tout au long de la Vorstädt. Hospitalerstraße et la Kaiserstraße. Une belle victoire pour nos soldats qui se sont si vaillamment battus !
Le crépitement du quadruple allemand rugit sans fin sur la Kaiserstraße : le commandant de la compagnie de Strelkovii qui a rejoint Mikhail avec une escouade se retrouve pris sous un feu infernal qui met ses hommes en panique. Mikhail lui-même est touché par un éclat de pierre qui manque de lui arracher l'épaule.
Les fuyards tirent au jugé sur les immeubles et ruines bordant la Kaiserstraße : nos hommes en rient encore.

L'artillerie allemande continue de bafouiller. En voulant se replacer sur nos escouades de pointe, elle dévie légèrement vers le Nord et s'abat sur une position encore occupée par leurs hommes dans une réserve de traverses en bois : le résultat ne se fait pas attendre et la dizaine de fascistes partent en déroute. Un groupe de Frontoviki est cependant pulvérisée de l'autre côté des hangars ferroviaires en ruines.

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Oui, j'ai l'impression qu'il y a toujours autant de russes alors que les schpountz fondent à vue d'oeil.

En fait, bien que ce ne soit pas encore terminé, je pense que je ne jouerai cette campagne qu'avec les éventuelles modifs que Hill pourrait apporter afin de la rendre plus sympa à jouer pour le teuton. Sans cela, j'ai le sentiment que l'allemand mange gras en permanence et ne peut pas faire grand chose contre le rouleau compresseur, dont les troupes reviennent sans cesse malgré les pertes à coups de 30 ou 40 Squads, sans parler de l'OBA qui semble être partout!

C'est con car la carte est magnifique.... mais encore un scénar et il n'y aura plus d'allemand sur la carte. Ça pique!

Amicalement,

X
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Quel verve Hill621 !

Chtite question.

Vu que les tirs d'OBA dérivent parfois et de plus en plus souvent sur la tête de soldats amis, as-tu pris en compte le point de règle suivant pour l'OBA ?

C 1.54 FRIENDLY UNITS: Each non-heroic, non-berserk unit [EXC: an Observer within that Blast Area due to his Accurate placement/Correction of that FFE; units in Locations immune to OBA (1.5)] has its Morale Level, or that of its Inherent Personnel, lowered by one while within the Blast Area of a friendly HE/WP FFE or Bombardment.
Le problème avec les experts, c'est qu'ils n'ont aucune idée de" ce qu'ils ignorent