Mon approche des échecs est plus proche de celle de Seirawan et de Silman, une sorte d'analyse métaphysique où la partie est un équilibre entre temps, espace et matière.
Je pense que je ne suis pas assez religieux pour aimer les échecs.
Sérieusement, je suis resté en-deçà de ce niveau de perception du jeu et je ne me sentirais pas capable de l'atteindre...
Mais total respect pour ceux qui arrivent à naviguer dans ces eaux-là (comme dirait Émile du même nom).
« Modifié: 01 Février 2011, 18:38 par Montagu »
"Votre manière de penser quand vous perdez détermine combien de temps passera avant que vous gagniez."
G.K. Chesterton